[Terminé] Courir après le temps

J'espère que ça vous fera mal.
C'était fait pour, au départ.
Ceci n'est pas du sadisme gratuit.

Un peu beaucoup space.
Je ne pense pas que beaucoup aimeront.
Mais avec un peu de chance, quelques unes le feront. =]



Courir après le temps.

Les mots s'envolent avec le courant d'air que créer la porte en se fermant violemment. La pressions retombe, pour un moment seulement.

- J'ai pas finis!
- Et bien moi si.
- C'est sa, pars!

Poignardée dans le dos par ses mots. Oui je pars, avec les larmes aux yeux. Je traverse la rue, laissant une traînée de sang invisible derrière moi. Evidement, il fallait que j'habite en face de lui.
Merci à toi, qui est perché la haut, sur ton nuage de douceur, à te moquer de la bêtise humaine alors que tu est censé tout arranger. Enfin si tu existe, pas pour moi en tout les cas. Ou alors tu m'as carrément oublier, ou je suis juste une distraction quand tu n'as rien a faire de mieux. Bref, moi je n'crois pas qu'tu existe.
Toujours ses phrases qu'il lance, dans le but de faire rire, par de blesser. Or sa fait presque sept mois qu'il n'est pas revenus. Et en sept moi, il peut se passer beaucoup de choses qu'il ignore. Des événements qui blesse et que j'ai dus enchaîner, seule.

Ce soir j'ai encore du mal a trouver le sommeil. J'imagine déjà les tapotements des doigts de mon père sur son clavier d'ordinateur a une vitesse ahurissante. Depuis il s'est renfermé dans son travail.
J'attend trois heures du matin, qu'il se couche, pour éteindre ma lampe et fermer les yeux, cherchant l'autre monde. Celui dans lequel tout est possible, celui que je n'atteint pas tout les jours. Ce monde il est tout de même merveilleux, car je retrouve certaines personnes.

Plus personnes ne prend la peine de manger le matin. Je me contente d'apporter une chicorée à mon père, à dix heures, quand il se lève pour retourner dans son bureau.
A dix heures je regarde par la fenêtre, en face, simple habitude. Vieille habitude. Les signaux lumineux provenant de sa chambre indique que je suis invité à me rendre chez eux.
Comme lorsque l'on était encore enfants, quand on faisait saute mouton au milieu de la route, qu'on sautait dans la piscine l'hiver et qu'on s'amusait à brûler des billets avec notre fameux briquet américain. A cette époque là, on était jeune et heureux, souriant et insouciant. Repoussant toujours nos limites plus loin. On formait un petit trio, terrible aux yeux des voisins. J'les suivait partout. Parce qu'ils avaient un an de plus et que j'ai toujours voulus êtres plus grande, j'ai toujours été une tête de mule voulant paraître plus que ce que je suis.

- Bonjour ma chérie.

Cette fiction et completement diférentes des autres
j'espère que le début vous plait





Suite ?

Kim pourquoi pose tu cette question... Evidemment suite. Je t'en prie... <3
J'aime déjà, déjà envoutée par ce que t'écris <3

c'est plutot moi qui quis envoutée parce que t'écris <3
Merci (L)






Suite dans 2 minutes

Dis moi ce que tu en pense
Franchement

<3

Très franchement?

C'est magnifique Kim. Vraiment.
Je sais que je ne fais que te répêter ça, à l'ongueur de temps, mais qu'y puis-je, puisque c'est la pure véritée?

T'arrive tellement bien à nous faire vivre la même chose que les personnages. A ressentir ses émotions, et à rentrer dans l'histoire avec eux... Comme si on était là, nous aussi, à se rappeller les souvenirs d'avant. Spectateurs discrets et anonymes.

<3

Je t aime. Simplement et sûrement. Merci d'être là, merci pour tout et plus encore.
j'espère que ca continuera à te plaire =]
<3
Merci

Instant de réflexion pour tous. On s'assoit, on parle, ils me racontent des histoires, je n'y prête pas vraiment attention. Je n'peux pas, mon esprit et déjà bien trop occupé. Bill me regarde depuis quelques minutes, je reviens sur Terre.

- Chou'?
- Oui?
- Alors tu veux?
- De quoi?
- Dormir ici.
- Non. J'peux pas.
- Ah?
- Mon père, j'peux pas le laisser tout seul, pas en ce moment.
- Comme tu veux.
- J'y vai, sa vaux mieux, à demain.
- Attend...
- Non Bill, pas la peine de me retenir, à demain.

Je m'en vai, j'retourne chez moi. Sa vaux mieux, je crois.
Toujours dans son bureau, l'oreille collé au téléphone. Je n'sais pas si il connaît encore le sens du mot "vivre". Je pense qu'il est mort, intérieurement. Il ne réagit plus. C'est évident que sa l'a détruit, mais plus que moi, beaucoup plus. Même dans ses yeux il n'y a plus rien. Il ne chercher même plus a négocier les prix pour son travail, il obéit. C'est une machine. Oui, une machine sans âme. Je me demande si un jour il reprendra un rythme a peut près normal. Je me demande si quelqu'un peut encore quelque chose pour lui. Pas moi en tout les cas, j'ai tout essayer, tout donner, mais sa n'a servit à rien, il reste vide de tout espoir.
Je me pose toujours les même questions, assise contre ma porte, la musique en fond sonore pour donner un rythme a mes sanglots. Et puis je descend pour faire la cuisine. Mon père n'y pense même plus. Il met un quart d'heure avant de venir a table. Silence habituel.

- C'est très bon.
- Merci.
- Vraiment.
- Pas la peine de te fatigué, ce n'est que du saumon et du riz.
- ...
- Et je n'sais pas aussi bien le faire.
- Tu n'en prend pas?
- J'aime pas le saumon, enfin j'aime plus.
- Anna.
- C'est bon.

Je prend mon assiette et monte dans ma chambre. C'est vrai que j'lui en veut. Il n'était pas là quand j'en avais besoin. Il a inversé les rôles a ce moment là, lui l'enfant, moi l'adulte.
Je vai sur internet pour m'occuper comme je peux. Entre mes recherches et la musique, j'essaie d'oublier. Le temps passe. Absorbée par ce monde de pixels lumineux, je n'y prête plus attention. Je tombe sur des vieilles photos. Des photos de mon enfance. C'est fou comme devant l'écran je pleure plus vite, c'est fou comme tout ses souvenirs me sautent aux yeux et comme sa fait mal. Alors j'éteint et je jette des grains de riz froids par la fenêtre, aux oiseaux qui chantent une mélodie mélancolique à mon goût, pourtant si joyeuse pour les autres.






Suite ?

j'ai fais pratiquement que ca cette nuit MDR
alors je peux vous dire que des suites j en ai
et comme je suis gentille ...
* Ok Ok MGT*
>.<
<3

Ca continue à me plaire, oui. Et tu sais, jamais ça ne me déplaira. PLus on avance dans l'histoire, et plus je plonge avec passion dans cet univers magique que tu créé <3

j'espere que tu tiendra
et que n'me lachera pas en cours de route
quoi que
si tu le faisait
je comprendrais
<3
Merci d'etre là



Flash Back 2
- Hé, les garçons, vous croyez que les oiseaux sa aime le gâteau au chocolat?
- Qui n'aime pas le chocolat?
- Arrête, tu vas pas l'donner aux moineaux qui chantent faux?
- Sa va, tiens Tom, mange, sale goinfre.
- Et les cacahuètes?
- Mais Bill, t'es bête mon pauvre jumeau, les cacahuètes, c'est pour les éléphants!
- Monsieur je sais tout.
- Normal, j'ai dix minutes de plus que toi.
- Dix neurones de moins, oui.
*

Doux souvenirs d'enfance. Sa me fais sourire.
Ce soir, j'suis invité chez eux, alors j'y vai. Tous autour de la table, comme une vraie famille. Mais ce ne sont que des apparences. Les grands sujets de conversation aborder, sont ceux des adultes. Chacun est assez mur pour comprendre dans qu'elle galère nous vivons.
Parfois j'aimerais vraiment retourner en arrière. P'tite fille, bébé, fœtus, a l'état d'une simple cellule. Sans cerveau et tout autres organes pour ne rien comprendre, pour ne rien voir.
Et toujours ce sujet qui revient: leur carrière, leur succès, leur musique et leur concerts, leurs fans et tout le reste. Puis places aux souvenirs qui remontent assez loin déjà. Regrets et chagrins se mélangent au dessus de moi pour former un gros nuage noir, comme dans les dessins animés.



<3

C'est adorable <3

=']
Mercy




J'ai finis par rentrer chez moi. Dans ma chambre, seule. Oui, toujours seule depuis. Nuit blanche, monde noir pourtant.
Les rayons du soleil transpercent mes yeux a moitié fermés. Il fait chaud, il fait beau, c'est l'été, tout le monde est heureux. Et pourtant, en cherchant bien, pas tant que sa.
Les albinos ne peuvent toujours pas sortir, certaines personnes sont obligé de mettre des mitaines ou des manches pour cacher leur douleurs, les personnes âgés restent enfermé chez eux a cause de la chaleur, la sécheresse fait peur au monde, les incendies ravagent les forêt, notre oxygène. Et moi j'me met a raconter des choses sans aucun sens.
La porte de ma chambre grince. Je crie. Il cri aussi. Mon père accourt. Magiquement étonnant. Entre temps je me suis débrouiller pour tomber de mon lit en voulant tirer sur mes draps.
- Anna! Anna!
Il entre, essoufflé, fronçant les sourcils en le voyant.

- Tom.
- Salut Eric.
- 'Pa... Tom merci de frapper.
- Excuse moi.
- Je vous laisse.

Mon père repart, sûrement paniqué d'avoir abandonné son travail pour rien, ou presque. Tom m'aide a me relever et s'assoit sur le bord de mon lit.

- Anna.
- Non, Chou', juste sa Tom.
- Oui, Chou', s'tu veux. T'es sûr que tout va bien?

Pourquoi les gens ne comprennent pas qu'il y a des questions qu'il faut éviter de poser au risque de les laisser sans réponses et de s'en mordre les doigts?

- Vous me manquez, c'est tout.
- On est là maintenant.
- Oui. Viens.
Je me colle contre le mur et il s'allonge avant de prendre ma main.
- Chou'.
- Oui?
-Toi aussi tu nous a manquer tu sais.

Je souris discrètement et ferme les yeux. Je suis fatiguée de mon manque de sommeil qui s'accumule, même si j'ai l'habitude, je me ramollis de jour en jour.

- Tom.
- Chou'.

Juste ces mots, comme pour se rassurer, comme pour faire attention à l'autre. Pour faire croire que tout va bien parce qu'on n'est pas seul.

- Dis moi ce qu'il ne va pas. J'le vois, tu peux pas nier.
- J'ai mal Tom. J'ai besoin d'aide. Tu sais... j'ai trop donner je crois.
- Désolé.
- Pourquoi?
- Parce que je n'peux rien faire.
- J'le sais.
- Tu sais, personnes ne peux t'aider, tu n'touvre pas vraiment. T'y arriveras, mais toute seule je crains. Sa j'ai mis du temps à le comprendre.
- Quand t'es partis.
- S'il te plaît.

Comme si sa faisait mal. Mais non, il est franc, c'est Tom et sa fait du bien des fois de ce prendre la réalité en pleine face. Il caresse le dos de ma main, la lâche et se lève.




<3

MDR
je crois qu'il faut que je me calme avec les suites moi
MDR
<3

Putain
t'as pas le droit d'ecrire des choses aussi belle;
je viens de me prendre tout d'un coup dnas la geule.
C'est telement.....
c'est juste trop magnifique

Tu fais chier, j'arrive jamasi a rien dire apres avoir lu un truc de toi.
C'est super frustran quadn même.

C'est tellement inrigeant. Je veux tout savoir.



J'aime

et toi t'es completement timbrée de me dire des choses pareil
je les merite pa tu sais
je mérite pas des mots aussi beaux
t'es completement malade ma Twin
c'est toi qui me fais chier a m'dire des chose aussi Belle
ptain<3
tu sais que j'taime toi (L)

oui je sais


non jdeconne
Si tu les mérite ces mots
et tu mérite tout ce que julie et moi et les autres ont a pu te dire.
TU le mérites!!

Moi aussi jtaim ma Twin <3

C'est tellement magnifique <3
Tellement simple, tellement pur, tellement beau <3
Je sais que je raconte toujours la même chose... Désolé, mais le smots me manque, face au tiens T.T

tu raconte peut etre "tjrs la meme chose"( comme tu dis)
mais ... <3
moi ca me va
et ne dis pas que tes mots ne fond pas le poid fasent ausx mien parce qu'ils valent tellement plus
<3





suite dans 2 minutes si vous voulez =']

Il caresse le dos de ma main, la lâche et se lève.

- Où tu vas?
- Je t'attend en bas, j'vai dire bonjour à ta mère.
- Attend moi.
- Je te laisse t'habiller peut-être, non?
- Non.
Il n'ajoute rien et se retourne, bras croisés, tordant ses pieds.
- Voilà, on y va.
- Elle est où ta mère?
- Peut importe.
- Attend, sa fais longtemps que je n'l'ai pas vus.
- Moi aussi Tom, moi aussi.

Légère comme une plume, je traverse les pièces, capturant sa main pour l'entraîner. Lui perdu dans mon monde et moi frôlant le sol, presque innocente, comme si des ailes me poussaient dans le dos. Je ris.

- Anna.

Mes ailes s'évapore, le monde s'écroule sous mes pieds. Comme si il ne savait pas que je détestait qu'il m'appelle comme sa. Monsieur l'incendiaire a choisit de brûler mes ailes.

- Chou', j'veux voir ta mère.

Doucement je lâche sa main, je cherche une réponse dans ses yeux noisettes.

- Elle est partie pour un voyage, plus ou moins long.
- Un voyage d'affaire? Encore.
- Oui, encore.
- Elle revient quand?
Je regarde mes pieds et souris.
- Bientôt.

Il me fait un bisou porte bonheur comme il appelait sa autre fois. Même plus l'envie de réagir ni de sourire. Monsieur l'incendiaire m'a arroser, monsieur l'incendiaire me fait pleurer.

- Tu déjeune?
- Chez toi, s'il te plaît. Ici c'est bizarre tu sais.

On court dans la rue. Il pleut, il me traîne derrière lui, souriant. Sa m'fais sourire aussi de l'voir comme sa, parce que c'est rare de le voir sourire pour de vrai. On entre chez lui, juste rafraîchit. Un bisou de maman, une bise à papa et un câlin à ce p'tit enfant assit.
Ici on respire la joie et la bonne humeur. Ici se cache les maux de coeurs. Des problèmes dont je n'ai jamais vraiment entendus parler, des problèmes dont on n'a pas trop envie de parler, qu'on préfère garder pour soit et c'est peut-être mieux comme sa. Alors on les laisse de côté.

Des après-midi au bord de la piscine comme j'aimais, avant. Car sans elle, Léa sur sa chaise longue sa ne fait plus le même effet.
Des fois j'observe leur poignet. Oui, j'ai peur des fois qu'ils fassent quelque chose qu'ils regretteraient sûrement par la suite. Mais rien qu'en les voyant s'éclaboussés, je me dis qu'ils en sont presque incapable, rien que pour le fait qu'ils soient deux, toujours. Et puis ils ont cette peur de la mort, peur de disparaître. Alors non.

Dîner en famille le soir. Enfin quand je dis famille, presque, j'ai tout de même ce sentiment d'être de trop malgré qu'ils me disent le contraire.

Bon allez moi je vais préparrer mes affaire pour demain
parce que j ai encore rien de pret
--"
>.<
et puis je reviens
en plsu mon uniforme est meme pas pret T_T
il l'est toi , Morgane ?
Moi pas T_T
bon aller a toute
je reviens apres
'vous aimeee <3

ça me fait tout simplement pleurer!!
suite please!!