[Terminée] 10 minutes de plaisir contre ...

mdr déca , t'es pas possible
=']

Chapitre 102 ==>

Mes yeux s’ouvrent péniblement sur un brouillard aveuglant.
Je les frotte pour y voir plus clair.
Le soleil est levée … il doit être tard… ou tôt ça dépend comment on voit les choses.
Je me sors de mon lit et la routine reprend son cour… douche, habillage, léger…très léger maquillage.
(…)
Je descend prendre mon petit dej’, Anita m’attend déjà assise à la table.
Tout est déjà prêt, je n’ai plus qu’à m’asseoir et manger.
Une petite conversation matinale commence, les questions habituelles « ça va ? », « bien dormi ? » …
Puis la journée continua à avancer, la nuit arriva… puis le jour à nouveau.
Une semaine et demi s’étaient dérobées depuis l’arrivée d’Anita à la maison.
Tout se passait bien, on parlait beaucoup, on apprenait à faire connaissance.
Mais au fil du temps, l’absence de Bill s’était réveillée, bien qu’elle ne se soit jamais effacé.
(Comme une « maladie » endormie…
En rémission…
La rechute est elle plus brutale que la première chute ?
Jusqu’ou ira tu …)

Alors que le 12eme ou le 13eme jour identique à tout les autres débutaient…
La sonnerie de la maison retentit.
Sans réfléchir, sans autre pensée que Bill, je cours jusqu’à la porte d’entrée, voyant déjà son visage, l’imaginant déjà.
J’ouvre la porte rapidement, impatiente.


mais qui est ce?
mdr
<3

Bill? xD

La question con ^^"

Suite?

Genre elle va pleurer, lui sauter au coup, il aura des fleurs, la couvrira de cadeau, lui dira qu'elle fasse sa valise, qu'une voiture les attend, etc.
*s'enflamme* xD

question pas si con que ça
je crois ....
parce que ca pourrai etre
- Bill
- Georg
- Gustav
-Tom
- les 4
- son père
- sa mère
- le facteur

* c'est bon j'ai compris , MG * >.<


Chapitre 103 è
« BILL ! »
« Non, c’est … »
« TOM ?! Qu’est ce que tu fais là ? »
Mon regard balaye la rue, mais je ne vois personne d’autre.
Avant que Tom ne réponde quoi que ce soit, je le questionne à nouveau
« Ou…Ou est Bill ? »
« Sandra, je suis désolé mais… »
Je l’écarte de mon chemin et sors dehors, l’empêchant de dire un mot de plus.
(Berçons nous d’illusion le temps que l’on peut.
Repoussons au plus loin, le moment ou toutes les vérités doivent être dîtes…
Rêvons encore un peu, croyons y encore un peu…)
Je cours jusqu'au portail, je l’ouvre et sors de notre propriété.
Je regarde la rue d’un côté, puis de l’autre…
Mais il n’est pas là.
La rue est déserte, il n’y plus aucune vie.
Des larmes naissent dans mes yeux, puis s’échouent sur mes joues.
Tout est calme, pas un bruit ne vient trahir le silence, tout semble mort.
(Tout est plus beau, quand on peut le partager…
Perdez une personne est tout vous semblera triste, froid, sans aucun intérêt.
La vie a-t-elle un intérêt si on la vie seul ?
Peut-être bien…que oui me direz vous.
Mais comment faire dès lors ou toute votre vie ce résume à lui ?
Que doit on faire quand la vie se résume à un « nous » ?)

Je sens deux mains se poser sur ma taille délicatement.
Je sais très bien qui sait, mais surtout qui ce n’est pas.
« Il n’est pas là… Je suis désolé… » Murmure Tom.
Tout se mélange dans ma tête, tout est confus.
La seule chose que je déplore réellement c’est son absence.
Tom me retourne doucement pour que l’on se retrouve face à face.
Ma tête se baisse automatiquement, mes larmes continuent de couler sur mes joues.
La déception s’empare de moi, la tristesse, la solitude…
Tom prend mon visage tendrement dans ses mains, et le relève avec attention0
Il essuie chacune de mes larmes, du bout de ses doigts, puis il dépose un délicat baiser sur mon front.
« Sois pas triste, hein… Il reviendra… Il reviendra… » Susurre-t-il à mon oreille.
Mon visage s’enfuit dans son cou, nos corps se serrent l’un contre l’autre avec une douceur dont je ne l’aurais cru capable…
Pourtant tout dans ce contact est douloureux, il me rappel tellement Bill.
Pourtant ce n’est pas lui.
(Lucide un moment, tant qu’on s’accroche encore à un espoir.
Viendra le temps, ou le manque sera tellement grand, que nous ne serons plus lucide.
Trop aveuglé par combler ce manque, au fond de vous, qui vous tiraille le cœur, vous arrache les entrailles, vous brûle les veines)
Ce n’est pas SON cœur que j’entends battre.
Ce n’est pas SES bras autour de moi.
Ce n’est pas SON souffle dans mon cou.
Ce n’est pas SES mots.
Ce n’est pas LUI.
Mes larmes redoublent d’intensité. Son étreinte se resserre sur moi.



Mais ou est Bill ?
Mort écraser par une groupie ?
mdr

Sympa pour Tom xD
Le pauvre quand même !
Limite c'est "Ah, c'est QUE toi? Tssssk...." -_-'

Non franchement, elle va succomber et consummer sa passion avec Tom, vu comme c'est partit, non?! xD ^^"

Je suis cinglée, je sais ><

SUITE !!

oui suite c'est trop bien!!!

Chapitre 104


« Allez viens … viens on rentre… Je vais t’expliquer… » Ajoute-t-il pour faire cesser mes sanglots.
Abandonné de toute volonté, l’un contre l’autre, on s’avance lentement vers chez moi.
Abandonné de toute force, sa main sur ma hanche, mon bras dans son dos, il me porte à moitié, n’ayant plus envie de faire aucun effort.
A peine un pas à l’intérieur, que Anita se dirige vers nous.
Face à face, aucun mots venant troubler le silence pesant qui s’installe dans la pièce.
Elle nous regarde successivement tout les deux, abasourdi.
« Qu’est ce que il fait là, lui ? » annonce-t-elle étonnée, après de longues secondes.
« Je..euh…c’est une longue histoire en faîte…’fin pas si longue que ça, mais …euh… en faite je » bégaye Tom.
« C’est bon, il est comme chez lui, ici » déclarais-je gentiment en le coupant.
Anita m’adresse un faible sourire, puis fait à un signe de tête approbatif.
On reste figé, un peu gêné pour je ne sais quelle raison, les yeux dans les yeux.
Puis finalement, Anita déclare « Bon, je crois que je vais vous laissez… Je vais dans ma chambre. »
Elle nous adresse un dernier sourire, puis disparaît dans la cage d’escalier.
« Sandra ? »
« … »
« Sandra ? »
« Hein ? euh…désolé, je pensais… »
« Pas grave… on monte ? » demande-t-il en cherchant dans mes yeux un indice sur ce à quoi je réfléchissais.
« Comme tu veux. » soufflais-je sans aucune conviction.
Je commence à monter les premières marches lentement, pendant ce temps, il saisit ses bagages, et finit par emboîter mon pas.
(…)
« Va dans ta chambre, j’arrive, je vais juste poser ça, dans la mienne » lance Tom.
Je le regarde s’éloigné, puis je me dirige vers ma chambre remplit d’un grand vide.
Je vais m’asseoir sur mon lit silencieusement et j’attends, essayant de ne penser à rien, de faire le vide, de me préparer à encaisser je ne sais quoi encore.
Il revient quelques minutes plus tard, il s’assoit doucement à côté de moi.
Un léger silence s’installe, que je comble rapidement, les questions me brûlant les lèvres.
« Pourquoi toi tu es là, et pas Bill ? »
« J’ai pas choisi de venir ici » Lâche-t-il.
« Comment ça ? »
« C’est ton père qui m’a envoyé ici » répond-t-il.
« Pardon ?! C’est mon père qui… qui… donne moi ton portable ! » Criais-je.
« Quoi ? »
« DONNE MOI TON PORTABLE » Rajoutais-je.
Il me regarde avec des yeux ronds, puis finit par lâcher
« euh… j’ai pas de portable »
« Tu te fous de moi, ou quoi ? » râlais-je complètement submergé par un flot de colère.
« Et Ho, calme, cool… » Murmure-t-il.
J’inspire profondément, puis reprend mon interrogatoire « Pourquoi toi t’as été envoyé ici et pas moi ? »
« La tournée est finit depuis quelques jours déjà. Bill, Georg et Gustav devaient rester… et moi… j’ai été envoyé là, c’est tout. »
« C’EST QUOI CE BORDEL ?! » criais-je, ne comprenant rien à rien.
Tom se lève brusquement, il se met en face de moi, puis commence lentement « Arrête de crier, s’il te plaît, ok ? Bien. »
Je me lève à mon tour en sursaut dans l’intention de crier,de hurler, mais au lieu de ça des larmes de colère, de frustration et d’incompréhension naissaient dans mes yeux.
Je ne comprenais plus rien, mes nerfs lâchaient peu à peu, la pression était trop lourde et étouffante.
Il me blottit contre lui, me murmurant quelques mots pour que je me calme.
Quand mes larmes sont sèches, et que mes sanglots éteints, il défait notre étreinte.
Nos yeux se croisent, il baisse son visage, enfuit ses mains dans ses poches, visiblement à la recherche de quelque chose.
Après un court instant, il sort une enveloppe de sa poche, plier en quatre.
Il la déplie soigneusement, puis me la tend.
« C’est pour toi »
Je l’interroge du regard avant de prendre en main l’enveloppe.
« C’est de Bill » ajoute-t-il.
Je reste un moment paralysé à l’entente de son nom, de ce nom si familier.
« Je vais te laisser, la lire tranquillement … Je suis dans ma chambre si tu as besoin de moi » déclare Tom avant de sortir de la proche, prenant le soin de fermer la porte derrière lui.
Je me pose assise en tailleur sur mon lit, admirant ce bout de papier comme si c’était la plus belle chose qui soit.
Je prend une grande inspiration, puis finit par ouvrir la lettre.

<3

MDR

Tom envoyé en reconnaissance... 2ème nounou?
Je persiste à dire qu'il va se passer quelque chose entre eux deux...

MDR
tom qui pars en reconnaissance
j'avoue pas mal




Chapitre 105

Tout comme l’enveloppe, la lettre était pliée.
Je l’ouvre comme il faut.
Je n’ai pas commencé de lire, que je reconnais déjà son écriture.
Un sentiment de bonheur m’envahit… enfin un peu de lui.
Je prend une grande inspiration et commence à parcourir sa lettre :
« Sandra,
Je ne sais pas vraiment par ou commencer, j’ai tellement à te dire.
Tout se mélange dans ma tête, tout est confus dans ma tête, sauf toi.
Tes yeux, ton visage, tes gestes, tout me hante, me manque.
Je donnerais tout pour te serrer dans mes bras rien qu’une seule seconde, rien qu’une fois.
J’ai le sentiment que ça fait une éternité que je ne t’ai pas vu, que je ne t’ai pas touché, que je n’aie plus respiré.
J’ai tellement besoin de toi, de sentir que tu vas bien, de sentir que tu es heureuse, de te donner tout mon amour.
Les heures sont bien sombres sans toi, et les jours sont interminables.
Je regarde souvent les étoiles en pensant à toi. Et dans ces moments je me dis qu’aucune ne te vaut.
Je me sens seul sans toi. Et ne me sens plus vraiment moi tout court.
Je t’ai envoyé plusieurs messages, et appeler plusieurs fois, ta mère m’a répondu une fois.
J’ai confiance en toi, j’ai confiance en notre amour et j’espère que ce qu’elle m’a dit n’était que des mensonges.
Tu te demandes sans doute pourquoi, je ne suis pas à tes côtés en ce moment, ou plutôt pourquoi Tom est là et pas moi ?
C’est un peu compliqué, d’ailleurs j’ai pas compris grand-chose aux raisons que m’a donné ton père.
Mais bon les deux autres et moi on doit rester pour assurer la fin de notre promo, mais je te promet qu’on se verra bientôt, je te le promet.
Tom est rentré parce que depuis quelques temps, il est pas bien, j’ai l’impression qu’il déprime.
Comme il tirait la tête tout le temps, ton père a décidé de le faire rentrer quelques temps pour qu’il se remette.
J’ai essayé de le faire parler, de cracher le morceau, mais il n’a rien dit. Alors j’ai du cherché un peu, donc j’ai fouiné, et en faite, je crois qu’il est pas bien à cause d’une fille.
Mais il est trop fier pour en parler, alors il ne dit rien.
Essaye de faire attention à lui, je l’ai jamais vu comme ça et je m’inquiète un peu.

Fais aussi attention à toi.
Je préférerais que ce soit moi qui veille sur toi, mais visiblement le destin en a décidé autrement.
Il ne se passe pas une minute sans que je pense à toi, je me demande comment tu vas, ce que tu est entrain de faire, si tu penses à moi, à nous, si je te manque…
Il y a tellement de question que je me pose, j’ai tellement peur de te perdre.
Je voudrais te prouver à quel point je t’aime.
Sans toi, je ne suis plus rien, je ne veux plus être rien.
Je veux qu’on passe le reste de notre vie ensemble.
Je veux te voir te réveiller à mes côtés pour le reste de ma vie.
Je veux te faire sourire, parce que tu as déjà assez souffert.
Je veux que tu te sentes rassurer quand tu es avec moi.
Je veux te rendre heureuse, et je ferais tout pour y arriver.
Je ne veux que toi, si toi tu veux de moi…
Tout ce que j’écris, j’aimerais te le dire, j’aimerais te le montrer.
Je sais que pour toi, certains mots n’ont aucune valeur, et que tu préfères les gestes
Mais, je t’aime, et aujourd’hui, je n’ai que la possibilité de l’écrire.
Je t’aime à en creuver, je t’aime pour tout ce que tu es.
Parce que chacun de tes défauts me plait, comme une qualité.
Parce que ton absence m’arrache le cœur.
Parce que je ne respire réellement que quand tu es avec moi.
Je ne vis que parce qu’un « nous » existe.
Tu es ce que j’ai toujours recherché.
Tu es ce dont j’ai besoin, le sang dans mes veines…
Tu me manques, je sais je me répète, mais ce vide est horrible.
Je me sens vidé de tout…
Je t’aime, je te ne le dirais jamais assez, je t’aime à mourir.
Je ne suis plus moi quand tu n’es pas là.
Je ne serais plus jamais moi, si tu ne reviens pas.
Mon amour, je t’aime… »

j'adore, la lettre me fait limite pleurer, c'est tellement beau
je suis du même avis que déca, la fille c'est elle c'est obligé, qui d'autre sinon!!
mets nous vite la suite stp!!

Evidemment que c'est elle, c'est sûr !!

Sinon la lettre... Ben... Je suis pas une grande romantique dans l'âme (Je suis même plus que fachée avec l'amour --") donc je la trouve juste un peu niaise x'D Sans vouloir critiquer l'auteure, hein ^^"

Suite?

Moi je trouve que de la part d'un mec (si on oublie que c'est Bill et que ce n'est qu'un demi-homme), c'est super touchant qu'un mec ecrive ca.
D'habitude ils se cachent, ne montrent pas leur sentiments, fondent les gros dure alors que on sait tres bien qu'ils ont des sentiments, et la Bill arrive a les coucher sur le papier.
C'est romantique, touchant.
Et bon de sa part ça parait normale enfaite!!

Suite

stp lulu mets nous la suite!!!

suite dans 2 minutes


Pour une fois que je suis d'accord avec toi Déca, fin peu etre pas pour une fois , mais la je sui d'accord avec toi.
je la trouve un peu niaise aussi
fin , est ce qu un mec ecrirais ca ?
je sais aps ...

Naaan, un mec écrirait jamais ça... Un mec est une bête sauvage, une pourriture sans sentiments, sans foi ni loi, qui brise les coeurs sans vergogne. Bouhou.

xD xD xD

Maintenant, comme le dit Morgane, Bill est quelque peu... Mi femme-mi homme ^^" (Comme moi, je suis une sirène, mi femme-mi thon xD) par conséquent il peut peut être se montrer "sensible". Ou alors il était bourré en écrivant x)

Chapitre 106


La lettre s’achève, et mon cœur explose.
Je la relis encore, et encore, avalant chacun de ses mots les uns après les autres.
Ça me fait tellement de bien, une bouffée d’air frais, un peu d’oxygène enfin.
Du bien, mais aussi du mal, le mal de ne pas le voir encore.
Il est là pourtant, mais je ne peux pas le toucher.
Il est là, et absent à la fois.
Le bonheur et la tristesse à la fois.
Toujours plus envie de lui.
Je ressasse dans ma tête ses mots, ce petit bout de paradis parce qu’il vient de lui et qu’il parle de nous au présent et pas au passé.
Parce qu’il m’aime toujours, parce que je l’aime de tout mon cœur, de ton mon cœur, de tout mon être.
Mes mains tremblent légèrement, ma respiration est saccadée comme si il était là.
J’entends quelqu’un frapper à ma porte, j’essuie rapidement mes joues marquées par mes larmes, puis donne l’autorisation d’entrée.
La porte s’ouvre doucement, puis le visage de Tom apparaît.
« Ça va ? » demande t-il un inquiet.
« Euh…oui, oui ça va t’inquiètes pas »
« J’peux entrer ? »Renchérit-il.
« Oui, bien sûr, vient » répondis-je en tapotant la place à côté de moi, d’un geste de main.
Il entre réellement dans la pièce, referme la porte, et vient s’asseoir à mes côtés.
« T’as l’air bizarre » annonce-t-il.
Je tourne mon visage vers lui « Sympa »
« Mais non, c’est pas méchant ! C’est juste que j’sais pas, ta un sourire presque au lèvre, et en même temps t’as tes yeux humides » défend-il.
« Ah… ça va j’te dis »
« Ok » se contente-t-il de répondre.
Un froid s’installe, que je brise rapidement.
« Et toi comment tu vas ? »
« Je vais bien » rassure-t-il.
« Hein, hein… T’es sûr ? »
« Je vais bien » insiste-t-il.
« Ok »
Un autre silence s’installe, celui-ci légèrement plus long.
Au bout de multiples soupirs, Tom demande enfin.
« On fait quoi ? »
« On a rien le droit de faire »
Il ne cherche pas à comprendre et se contente de répondre par « Ah »
(…)
Il se couche lentement… non en faite comme une grosse masse, sur le lit, ses bras en croix derrière sa tête.
« Tu fais quoi là ? C’est pas un squatte mes oreillers, j’y tiens ! » demandais-je.
« J’te comprends ils sont très confortable ! »répond-il.
« T’as une chambre, j’te signale juste entre nous ! »
« Oui, oui je sais, mais elle est vachement loin là, je sais pas si mes magnifiques jambes m’y porterons, alors je préfère me coucher ici »
« Non ! S’te plaît Tom, bouge toi de là ! » râlais-je, en le tapant avec un coussin en pleine tête, mais il se redresse et esquive le coup évidemment, je manque de tomber du lit emporter par le coussin qui avait louper l’autre rigolo.
« C’est pas bien de vouloir me taper » dit-il en faisant non de la tête.
« Pas bien du tout » rajouta-t-il.
Je déplore mon échec cuisant du lancé de coussin.
Il se recouche sur le lit lourdement.
Je le regarde et soupire « Tom »
« C’est moi »
« Vire s’il te plaît »
« Non, j’ai pas envie »
« Moi, j’ai envie »
« Oui, mais on s’en fou, j’ai envie de parler moi, alors je vais rester » annonce-t-il.

Chapitre 107


Je me couche à ses côtés et souffle en guise de forfait « Comme tu veux »
(…)
« Euh…tu voulais me parler, je t’écoute ! On va pas rester là à admirer le plafond ! »
« Nan, mais j’avais rien de spéciale à dire, je voulais juste pas que tu restes toute seule »
« Pourquoi ? »
« Parce que tu dois être triste, tu dois ressasser ton chagrin et c’est pas bien » assure-t-il.
« Ressasser ton chagrin, t’as sorti le dico là ? »
« Ah…ah…ah, je sais bien que t’es triste, t’essayes juste de le cacher parce que je suis là, j’te connaît » Répond-il.
« J’ai pas envie de parler de ça avec toi »
« Le problème, c’est que tu veux en parler à personne » réplique-t-il.
« C’est pas vrai ça ?! »
« Ah oui ? Alors dis moi à qui tu parles de ce qui te fais souffrir ? »
« euh… »
« C’est bien ce que je disais » me coupe-t-il.
Le silence s’empare de la pièce.
On est toujours couchés sur le lit, le regard perdu dans les airs.
« Sandra ? »
« Tom ? »
Il ne répond rien, et le silence s’impose à nouveau dans la pièce.
(…)
Après un moment, il reprend la parole
« Ça t’es déjà arriver de vouloir quelque chose que tu ne pouvais pas avoir ? »
« Comme quoi ? Quelqu’un ? Quelque chose ? »
« Un peu des deux… » Ajoute Tom.
« Un peu des deux ? Comment ça ? Explique moi »
« Répond d’abord » rétorque-t-il.
Je réfléchis un moment puis débute « Oui, ça m’ai arrivée déjà… ça m’arrive encore d’ailleurs. Mais pourquoi tu veux savoir ça ? La moitié des filles du pays sont à tes pieds. »
« C’est bien ça le problème, que la moitié ! » plaisante-t-il.
« Essaye pas de faire le rigolo, pourquoi tu m’as demandé ça ?
Je sais que tu me caches quelque chose et je veux savoir ce que sait ! »
« Oui et donc, comment tu fais quand tu ne peux pas avoir quelqu’un et quelque chose que tu veux ? » reprend-il.
«Détournement très habile du sujet et Merci de me répondre, ça fait toujours plaisir de voir que tu m’écoutes » râlais-je.
« Je t’écoute, mais tu répond pas à mes questions ! » grogne-t-il.
« Tu réponds pas non plus au mienne ! » m’indignais-je.
« Oui, mais c’est moi qui pose les questions, toi tu dois juste répondre » renchérit-il.
Tom reprend « Je renouvelle donc ma question, quand ça se produit qu’est ce qu’on est censé faire ? »
« Bien, tu mets ton mal en patience, tu attends… tu attends encore, et toujours, inlassablement.
Tu attends un sourire, un geste, un mot, un regard… un centième de lui qui t’emporte au paradis, juste parce que c’est lui.
Tu attends en silence, en souffrant, mais tu ne dis rien… »
« Mais ça c’est quand les sentiments sont réciproques, mais que la distance vous éloigne.
Moi je veux savoir comment on fait quand les sentiments ne sont pas réciproques » ajoute-il.
« Là, c’est un peu compliqué… »
« Sans blague » ironise-t-il.
« Tu veux de mon avis ou pas ?! »
« Oui, oui » peste-t-il.
Sale gosse, quand même celui là !

Chapitre 108


« Bah, quand tu veux une personne qui n’éprouve pas les mêmes sentiments que toi, tu essayes de tourner la page, de l’oublier, même si c’est dur ou alors tu te bats pour cette personne. Y a pas 10 000 solutions »
« Tu m’aides vachement là » râle-t-il.
« Oui bon bah excuse-moi, mais tu es vachement flou dans tes propos ! Essaye de me dire les choses franchement et je pourrais peut-être t’aider Môssieur grognons ! »
Il éclata de rire en m’entendant l’appeler de cette façon.
Je sais pas si il se fous de lui ou de moi, mais j’aime pas trop ça. Il me prend pour une con là !
« Arrête de rire ! » grognais-je en faisant mine de bouder.
Un de ses bras m’enlace et m’approche de lui, alors qu’il continuait de rire.
« Oh c’est bon te vexe pas, je ne me fous pas de toi ».
Je me blottis contre, ma tête sur son épaule, ma main posée sur son torse, nos jambes s’emmêlant
Puis d’un ton bougon je lui dit « si, tu te fous de moi, d’ailleurs tu te fous tout le temps de moi ! »
« Alors là ! Même pas vrai ! » se défend-il.
Je soupire et murmure « oué, oué, c’est ça »
Il dépose un chaste baiser sur mon front, puis un silence s’abat sur la pièce.
Après un instant, il se décide enfin à parler
« Ça va ? »
« Bah oui, pourquoi ? »
« Non, pour savoir » répondit-il.
« Pour savoir ? C’est pas ton genre de répondre ce genre de truc » lançais-je.
« Je m’inquiète »
« Tu t’inquiètes ? » répétais-je.
« Oui, je m’inquiète ! J’ai le droit quand même ! J’ai un cœur contrairement à ce qu’on pourrait croire ! Et toi t’as beau cacher ta douleur derrière un sourire, je vois bien que tu es pas bien ! » Gronde-t-il.
Je reste un moment interdite. C’est étrange de voir Tom s’énerver et s’inquiéter, surtout aussi soudainement, ça lui ne ressemble pas trop.
Quelques secondes avant qu’il recommence à parler.
« Je suis désolé, je sais pas ce qui m’a pris, je sais pas pourquoi je me suis énervé comme ça… excuse-moi »
« C’est rien… » Soufflais-je. J’étais plutôt mal placer pour faire la morale, je m’énerve sur n’importe qui.
Il tente un sourire que je lui rends doucement.
Nos deux corps se lovent l’un contre l’autre.
Je me sens un peu moins seule, un peu rassuré, même si on fond de moi mon cœur saigne.
Sa présence me laisse espérer que bientôt se sera Bill à mes côtés.
Bercée par la respiration de son cœur, je finis par m’endormir… presque sereine pour le première fois depuis bien longtemps.
La promesse de lendemain, un peu plus beau, un peu plus calme, et bientôt son retour… du moins je l’espère…

Comme j'ai rien a poster sur l'autre et ben je compense
MDR

et bien continue à compenser parce que j'adore cette fic et que j'ai envie d'avoir la suite stp!!

Non mais vraiment. C'est pas dur à comprendre, ça crève les yeux qu'il craque pour elle oO'

Suite? =)
Compense encore =D

Chapitre 109

Mes yeux s’ouvrent lentement, puis sont éblouis par le soleil, je grogne un peu, puis commence à m’étirer doucement.
Jusqu’à ce que je percute que je n’étais pas seule dans le lit !
Mon regard se pose sur le corps de Tom paisiblement allongé sur le côté, les yeux clos.
Je le regarde un petit moment.
J’enlève doucement sa main qui se trouve sur ma hanche pour sortir du lit sans le réveiller.
Je crois qu’il est un peu en manque de contact lui.
Va falloir qu’il trouve quelqu’un d’autre que moi par contre.
Une fois que j’ai enlevé sa main, je me déplace pour sortir du lit.
Mais je sens une main agripper mon bras.
Ma tête se tourne rapidement et je vois Tom.
« Tu vas ou ? » soupire-t-il avant de me relâcher le bras et de se recoucher comme il faut.
« Je… »
« Non parce que tu prends beaucoup de place quand même » ajoute-t-il en baillant.
« Sympa… J’te rappel juste, accessoirement que c’est mon lit, et que si tu veux avoir plus de place t’as qu’à aller dans le tien ! C’est pas moi qui viendrais te squatter ton lit ! » lui répondis-je.
Il ferme les yeux se retourne, se vautre sur le ventre, et articule « Bon, j’continue ma sieste moi, et fais pas trop de bruit, s’il te plaît »
« Je vois que tu m’écoutes avec attention. » pestais-je.
Il ne me répond rien pour changer, et se contente de s’installer plus confortablement sur MON lit.
Bon, je me lève de mon lit, et sors de la chambre, en claquant la porte.
Et oui, je vais pas le laisser tranquillement comme ça en mode Hivernage, alors que c’est mon lit ! Je descends les escaliers, et vais dans la cuisine.
Un coups d’œil à l’horloge : 17h10
Ah oui quand même !
Et ben, je me demande comment on va réussir à trouver le sommeil ce soir, en ayant dormi à peu près 4h.
Ça va être une catastrophe ce truc, je le vois venir, ou alors ça va se finir en larme ou alors on va finir bourrer et après on pleura.
Bref, je cherche de quoi grignoter un peu, puis vais m’asseoir au salon.
Anita était déjà assise à regarder la télé, je me joins à elle.
Elle me sourit, puis se replonge dans son film.
J’observe les images défiler sur l’écran sans vraiment y prêter plus d’attention.
J’attends calmement… quoi, je ne sais pas réellement, mais je n’ai rien à faire…alors voilà.
Elle attrape la télécommande qui était sur la table basse, éteint la télé, et me regarde.
« Alors, ça va ? » demande-t-elle.
« Ça va » lui assurais-je en tentant un sourire.
« Si tu as besoin de parler, je suis là »
« Je sais »

non il craque masi en meme temps il craque pas je suis sur.
lol

Suite!!

Chapitre 110


Elle me sourit, puis se lève.
Elle me donne la télécommande, puis sort du salon, disparaissant de mon champ de vision.
Je laisse la télévision éteinte, et m’installe plus confortablement dans mon fauteuil.
Je rabats une couverture sur moi…
Je regarde autour de moi… rien.
Il n’y a strictement rien à faire…
De fil en aiguille, je me replonge dans mes souvenirs.
La lettre de Bill revient à mon esprit comme une évidence.
Je me la repasse en boucle dans ma tête, la connaissant par cœur déjà.
Je m’emmitoufle plus franchement dans ma couverture, comme si ce vulgaire bout de tissus pouvait remplacer un centième de sa présence.
Mes mains se mettent à trembler, sans que je puisse les contrôler, ce qui m’effraie d’autant plus.
J’essaye de calmer les secousses qui agitent mes mains, mais impossible…
Elles deviennent moites et mes tremblements continuent.
Je suis prise de sueurs froides horribles, et mon rythme cardiaque s’enflamme.
J’expire lentement et fortement, espérant me calmer, mais aucun effet se reproduit.
Je me lève rapidement, et vais à la cuisine.
J’ouvre le frigo, sors une bouteille d’eau et bois à grande gorgée.
« Sandra ? »
Paniquée, je me retourne brutalement et laisse tomber la bouteille à terre.
Tom s’approche rapidement de moi.
« Ça va ? »
Je me concentre au maximum pour arrêter de trembler.
« Oui, oui, je vais bien » Affirmais-je, prenant un chiffon et m’abaissant pour nettoyer les dégâts.
Il reproduit le même geste que moi, saisi un chiffon et s’abaisse.
Il m’interroge du regard, mais n’ayant aucune réponse à lui donner je garde le silence.
Mes mains ont presque cessées de trembler, et mes sueurs ont disparus.
Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais je dois dire que ça ne me rassure pas énormément !
Je reprends mes esprits peu à peu, Tom me regarde toujours d’une manière étrange, mais je ne relève pas.
On finit de nettoyer, et il revient à la charge
« T’es sur que ça va ? »
« Certaine »
Il n’insiste pas, et on retourne tout les deux au salon.
On s’installe… fin lui il s’avachit, se jette, s’étale avec une grande classe toujours, sur le canapé.
Il attrape la télécommande, et se lance dans une folie de changer de chaîne le plus rapidement possible.
« Tom, arrête de zapper »
« Je cherche un bon truc » répond-il.
Au bout d’un long moment, il finit tout de même pas trouver une chaîne.
« Hey ! Il est géniale ce film faut qu’on le regarde ! C’est obligé ! » déclare-t-il.
« Ah, ben si on est obligé… »
Moi personnellement, le film ne m’inspire pas plus que ça.
Je décroche vite, mes yeux se ferment au fils que le film avance, et je ne tarde pas à fermer totalement les yeux…
Je ne dors pas, je me repose juste, je réfléchis.
Je repense à ce qu’il s’est passé toute à l’heure, j’ai vraiment été prise de panique, quand mes mains se sont mises à trembler, ça faisait longtemps que ça m’était pas arriver, et pour être franche ça ne m’avait pas réellement manquée.
Je me demande, ce que …
« OH ! T’endors pas ! » râle-t-il.
Je réouvre les yeux « Je ne dormais pas ! Je réfléchissais ! »
« Oué, oué, c’est ça ! J’vais chercher quelques choses qui va te réveiller ! »
Il se lève et se dirige vers la cuisine.
Quand il revient, c’est avec 2 verres de Vodka, je sais pas trop à quoi, mais bon.
« Va poser ça ! Y a Anita en haut ! »
« Et alors ? » demande-t-il.
« Bah, je sais pas, j’ai pas envie qu’elle te voit bourrer comme un trou ! Et j’ai surtout pas envie de te porter jusqu’à ton lit, parce que tu seras trop bourrer pour mettre un pied devant l’autre ! »
« Oui, mais là, je vais que boire un verre, je vais pas m’enfiler toutes les bouteilles de la baraque, non plus ! »
« Oué, c’est ça. Pour l’instant t’es que à un verre, dans 2h je parie que t’es déjà à deux bouteilles ! »
« Mais non ! »
« On verra… » Lançais-je.
Il ne relève pas, et se re-vautre dans le canapé, avec cette fois les amis indispensable la télécommande et le verre de vodka.
« Tu bois pas ? »
« Non, j’ai pas envie »
« Comme tu veux. Comme ça y en aura plus pour moi » souris-t-il.
Eh ben, une belle soirée à l’horizon.
(…)
21h.
Le film vient de s’achever, on est toujours dans le salon.
Et Tom est à sa je ne sais combientième bouteille mais en tout cas, il est plus très clair.
Anita est passé il y a une heure en bas, disant que ce soir elle restait dans sa chambre, pour pas nous déranger.
Elle est vraiment sympa, je sais pas si c’est une bonne idée de nous lasser en bas, mais en tout cas elle est vraiment gentille.
« San-Hic-dra ? »
« Oui ? »

MDR
oui t'en fais pas je vais compenser
mais comme je compense
je m'arreterai a un moment
et a mon avis cous serez pa contente que je m'arrete a cet endroit la
^^
<3