[Terminée] 10 minutes de plaisir contre ...

=')
j avoue
<3

Suiiteeeeeeeeee*

Je suis sûrement la seule à penser ça, mais Sandra m'insupporte vraiment au plus au point. Ca serait ma gamine, ça serait pas une baffe qu'elle aurait, mais carrément deux coups de fouet. ><

xD
Je sors, c'est bon ><

Suite? =)

suite stp!!

déca , c'est vrai , Sandra t'énerve ?
mdr
je sais pas si t'es la seule a penser ca.
<3






Chapitre 96 ==>

Une fois seule dans ma chambre, je me couche de tout mon long sur mon lit.
J’essaye de canaliser tout ce qui boue en moi.
Tout se mélange dans ma tête, mon esprit, mon cœur…
Le monde autour de moi s’écroule peu à peu, comme un vulgaire château de carte.
En l’espace de quelques temps tout s’est détruit, tout s’est effondré.
Les sentiments s’empilent dans un désordre inimaginable.
Je comprends plus rien.
Ma vie est un grand bordel !
Et je trouve pas comment faire pour rétablir qu’une minuscule once d’ordre.
Sans m’en rendre compte les larmes se sont mise à couler le long de mes joues…
Ça m’énerve aussi ça !
Je fais que de pleurer !
Faudrait que je me ressaisisse un peu, que j’essaye de faire quelque chose, que je me bâte bordel !
Je cherche… je cherche encore et encore ce que je dois ou peux faire, et je ne trouve rien, absolument rien.
Et mes larmes redoublent d’intensité de me voir si lâche… de rien pouvoir faire.
Je me déteste, je les déteste… TOUS !
Je continue pendant je ne sais combien de minutes ou peut être d’heure, je suis resté là, couchée, à me triturer l’esprit, à me ronger les sens, à jurer intérieurement contre tout le monde.
C’est le « doux » cri de ma mère qui me sors de mes pensées…
« SANDRA ! Descends s’il te plaît »
Demandé si gentiment, je peux pas résister… bah si !
« Sandra ! »
Mon prénom raisonne encore quelques fois, puis à nouveau je l’entend monter les escaliers. Ma porte s’ouvre encore.
« Sandra j’ai parlé à ton père » commence-t-elle.
« Passionnant » répliquais-je froidement.
Elle soupire devant le ton que je prends, mais elle continue « je vais aller rejoindre ton père »
« NON ! » criais-je presque, étonné. Oh Gott, c’est géniale !
J’essaye de pas trop sourire, pour pas qu’elle voit que je suis contente. Le simple fait de me voir heureuse pourrait la dissuadée de partir.
Mais bon je crois qu’elle a vu que j’étais plus ou moins contente, puisqu’elle s’empresse d’ajouter
« Mais… »
Je le voyais presque venir.
« Mais… tu n’auras pas le droit de sortir ! »
Genre t’es pas là, je vais faire ce que tu me dis !
Rêve ! Rêve !



<3
=')

OO'

Elle est con la mère quand même, comment elle veut lui interdire de sortir si elle est pas là pour surveiller --'

A moins qu'elle la foute en pension

Suite ^^

A bonne idee la pension.

J'avoue sandra a pas un bon comportement amsi bon ca mere se reveilun peu tard koi. C'est pas à 17 ans que tu apprend les bonnes manieres a ta fille.

SUITE

total d'accrod avec toi, comment elle veu l'empêcher de sortir si elle est pas là???

suite please!!

Suite**

aa ca vous allez voir tout de suite
elle est pas si con que ca sa mere
enfin je crois ...



Chapitre 97


Je sens l’arnaque… le coups bas, je le sens venir…
Je vais trouver, je le trouverais.
Je me couche quelques secondes sur mon lit, puis je me relève en sursaut, sors hors de ma chambre et me dirige dans la chambre de ma « mère ».
J’entre dans sa chambre. Sa valise sur le lit, elle empaquette tranquillement ses vêtements.
« Tu pars demain ? »
Elle ouvre de grands yeux, puis reprend plus calmement « oui comme je te l’ai dit, je pars demain »
« Quelle heure ? »
« 11h » lâche-t-elle en continuant sa tâche sans me regarder.
« Et tu vas ou exactement ? »
« Chez ton père »
« Ou exactement ? » rajoutais-je insistante.
« Je sais plus ! C’est quoi toutes ces questions ?! »
« Je cherche le piège ! »
« Y a pas de piège ! Je te le répète demain, un chauffeur viens me chercher à 11h, je prends l’avion à midi, et je vais chez ton père, ils sont dans une ville, je sais plus laquelle ! Hambourg peut-être, ou alors Munich, je sais plus, j’te dit ! » Rabâche-t-elle.
« Et comment tu vas faire pour prendre l’avion, si tu sais pas ou tu vas ? »
« Ton père a donné le billet au chauffeur qui vient me chercher. »
« Et tu verras Bill alors ? »
Elle daigne enfin me regarder, la pitié trahit presque ses yeux, et je réplique tout de suite
« Ne me regarde pas comme ça ! »
Sa pitié s’efface « oui, je le verrais… sans doute »
« Pourquoi sans doute ? Ils sont en tournée, et donc si tu vas voir…euh… ton mari, tu devrais les voir non ? »
« La tournée est presque fini, ils ont fait tout les dates hors de l’Allemagne et depuis 2 jours ils sont rentrés au pays. »
Whoa, j’ai loupé des trucs là ! Fin en même temps à part ma chambre, j’ai pas eu beaucoup l’occasion de voir des choses.
J’ai l’impression de faire un saut dans le futur ahurissant.
Les jours se sont succédés bien vite, je trouve.
Un sentiment d’amertume m’envahit, on m’a privée de lui bien trop longtemps.
Comme il me manque…
Ma mère me tire de mes regrets « Je vois que vous avez pas du beaucoup discuté de sa carrière ! » répond-elle méchamment.
« Désolé, de pas le juger sur sa carrière mais pour ceux qu’il est ! »
Ma mère reste interdite, et se replonge dans son rangement de valise.
Je sors de sa chambre, ne voyant pas ce que je pourrais gagner de plus.
Je retourne dans ma prison d’orée.
M’allonge sur mon lit.
Je me perds dans mes pensées, demain 11h, c’est le début d’un nouvel air !
Le sommeil m’emporte peu à peu…



<3

je vois pas pourquoi elle est pas conne sa mère là!!!
alors suite stp!!
j'aime trop cette fic!!

Je suis probablement odieuse, mais je trouve ça génial ce que sa mère fait. Surtout la réplique à propos de sa carrière ^^
Cynique et cinglant comme j'aime ='D

Suite?

et bien Lamiss56
tu va vori ca tout de suite =D
déca t'es pas croyable
ra la la ....
<3




Chapitre 98 ==>

(…)
« SANDRA !! »
« Mmm… HEIN ? »
Je me réveille en sursaut, la pièce tourne rapidement autour de moi.
Puis tout se remet en place dans ma tête.
Rien de tel que le doux hurlement de ma mère pour me lever.
Je me frotte les yeux et soupire.
D’une main je cherche aveuglement mon portable qui « normalement » se trouve sur ma table de chevet…
« Ah oui merde… J’en ai plus »
C’est le genre de petit détail auquel on ne s’habitue pas… PLUS de PORTABLE.
Bref, je roule jusqu’au bord de me mon lit, pour ne pas faire trop d’effort de si bonne heure, et sors de mon lit avec beaucoup de mal.
Une fois sur mes deux jambes, je me traîne jusqu’à ma fenêtre, et l’ouvre.
J’inspire l’air pur, histoire de s’aérer l’esprit et d’être en forme lors de l’arrivée de ma … nounou…
17ans, une nounou… je l’ai toujours pas digérée.
Bref, passons.
Il fait encore sombre dehors, je me demande bien qu’elle heure il est.
Beaucoup trop tôt sûrement.
Je reste quelques secondes à la fenêtre, observant le calme du quartier, le silence règne…
Puis, je sors de ma chambre, attrapant au passage des fringues banales.
« SANDRA T’ES LEVEE ?! » questionne ma mère du bas de l’escalier.
« Oué, oué, je suis levée … Il est quelle heure au faîte ? »
« 7h » répond-elle.
« La prochaine fois réveille moi à 5h pendant qu’on y est ! » grognais-je.
Elle tente de me répondre, mais je vais m’enfermer dans la salle de bains, mettant ainsi assez de distance pour ne plus l’entendre.

Plus tard…
10h. J’ai finit de me préparer depuis…euh… longtemps… approximativement 2h.
Et depuis je m’ennuie…
Je me suis gentiment vautrée sur le canapé, cherchant désespérément quelques chose à regarder, mais bon y a pas grand-chose, alors je zappe …. Je zappe … et je zappe encore.
Je regarde aussi ma mère de temps en temps qui passe dans le salon cherchant de par et d’autre de la maison des conneries à emporter avec elle, comme des magazines, des dvds…
Je continue de « m’amuser » avec la télécommande, regardant les minutes défilées à une lenteur … insoutenable.
« ‘Man » L’interpellais-je deux allées et venues dans le salon.
« Quoi ? »
« Toi tu pars à 11h, et euh… zut, j’sais plus son nom…ta copine là, elle vient à quelle heure ? »
« 11h » répondit-elle.
« En gros elle vient, et toi tu pars ? »
C’est pas que je sois lente à comprendre mais disons, que tout me paraît si stupide, que je préfère être sur.
« Oui c’est ça » rajoute-t-elle.
« Ok… tu te fous pas un peu de moi ? »
« Pourquoi ? »
« Bah de 1, tu pars voir le groupe alors que je reste là, déjà ça, ça m’énerve au plus haut point ! Mais j’arrive me canaliser.
Après tu me dis que tu me laisses avec une inconnue, sans même me la présenter !
Fin je sais pas, mais moi j’ai l’impression que tu te fous de moi ! »
« Mais non, mais non » s’empresse-t-elle d’ajouter avant de repartir dans une autre pièce.
Ok, elle se fout royalement de moi.
N’empêche elle est bien naïve de croire que je vais rester sagement là !
11h
DING DONG !
« Ça sonne ! » criais-je.
Je vais quand même pas aller ouvrir !
Manquerais plus que ça !
« Vas ouvrir » cris ma mère d’en haut.
« Hein ? Qu’est ce que tu dis ? Je n’entends pas ? »
J’augmente au même moment le son de la télé, et zappe sur une chaîne de rock, histoire de bien couvrir les paroles de ma mère.
Quelques secondes plus tard, ma mère déboule dans le salon, l’air … énervée je dirais, elle me fusille du regard.
J’abaisse le volume et déclare faussement désolé « Oh pardon, tu disais quelques chose ? »
DIIIIIIINNNNNNG DOOOONNNNG !
J’ajoute « Tu devrais aller ouvrir, je crois que ta copine s’excite sur la pauvre sonnette »
Encore une fois elle me tue du regard, puis elle sort du salon pour aller ouvrir.
J’entends des voix dans le hall.
« Ah très bien chauffeur, là ceux sont mes valises, rapportez les à la voiture. »
« Bien, Madame »
Quelques secondes s’écoulent puis à nouveau des voix raisonnent, mais ce n’est plus celle du chauffeur qui m’est inconnue.
« Ah te voilà ! Je me demandais si tu allais arriver avant que je parte ! »
« Moi aussi ! C’est dingue les embouteillages qu’il y a ! Mais heureusement je suis là ! »
« Oui heureusement ! » répond ma mère visiblement soulagée.
« Alors elle est ou ta dévergondé de fille ? »
Dévergondé ? Elle veut mon poing dans la figure ?
Respire, expire…
Je me répète ça à longueur de journée, faudrait peut-être que j’applique un peu.
Je prends alors une grande inspiration, essayant d’évacuer toute la colère que j’ai réussi à emmagasiner ces derniers temps.
J’augmente à nouveau le son de la télé, pour ne pas entendre les absurdités dont elles me qualifient.
Un instant plus tard, elles arrivent toutes deux, bras dessus, bras dessous, comme deux vieilles amies, dans le salon.
« Salut » me lance-t-elle.
Je la regarde froidement, pourtant elle n’a pas l’air bien méchante, enfin ce n’est qu’un air sûrement.
Ses cheveux sont châtain, ils tombent sur ses épaules, son visage est clair, elle paraît jeune, je lui donnerais à peine la trentaine, ses petits yeux verts dégagent quelques choses de gentils, de confiant.
Mais je n’ai pas envie de me faire berner, ou de me faire retourner comme une crêpe, je serais froide et sec, un point c’est tout !
« Pas très bavarde ta fille » annonce Anita en se tournant vers ma mère.
« Oh crois moi, elle l’est assez ! »
Les deux femmes m’observent comme si j’étais un animal.
Je reste calme quelques secondes, puis j’explose
« C’est bon ?! Vous voulez une photo ?! »
Ma mère lance « Tu vois, j’te l’avait dit ! »
« Oui, je vois ça ! Ça risque d’être amusant ! » ajoute Anita.
Tu vas voir si ça va être marrant !
Je zappe inlassablement, appuyant toujours plus fort sur les boutons de cette foutu télécommande.
« Bon, moi faut que j’y aille » annonce ma mère.
« Ok, je te raccompagne »
Et les voilà s’en aller tranquillement…
Ma mère part voir le groupe… elle verra Bill, et moi je reste là.
Je sais toujours pas pourquoi, mais je reste là…
Pour combien de temps ?… pas longtemps…
J’ai trop besoin de lui, mais quelque chose me retient ici.
C’est étrange, j’ai le sentiment que je dois rester ici.
J’ai la sensation que quelque chose doit encore arriver ici en bien ou en mal je sais pas.
Mais j’ai l’impression que mon « travail » n’est pas terminé.
(C’est dur à expliquer, ça se passe au fond de vous…
Comme un message incompréhensible
On sent qu’on doit encore rester
On sent que quelque chose doit arriver
On ne sait encore quoi.
Mais comme un rêve on le ressent
Je devais rester…
On me retenait invisiblement…
Je devais rester...
Certains me prendront pour une folle
Mais c’est ainsi, je ne pouvais pas partir pas encore)
Je me suis levé du divan, et je me suis dirigé vers la fenêtre.
Je regarde ma mère partir, ne pouvant bouger, paralyser par quelque chose d’inconnu enfuit quelque part au fond de mon être.
«Zum ersten Mal alleine / Pour la première fois seul
In unserem Versteck. / dans notre cachette
Und wisch sie wieder weg /. Je distingue encore nos noms sur le mur
Ich seh noch unseren Namen an der Wand / et les efface d’un revers de main
Ich wollt dir alles anvertrauen. / Je voulais tout t’expliquer
Warum bist du abgehauen? / Pourquoi t’es-tu sauvée ?
Komm zurück Nimm mich mit / Reviens - emmène-moi avec toi
Komm und rette mich / Viens et sauve-moi
Ich verbrenne innerlich./ ça brûle au fond de moi
Komm und rette mich / Viens et sauve-moi
Ich schaff’s nicht ohne dich / sans toi je n'y arrive pas
Komm und rette mich / Viens et sauve-moi
Rette mich Rette mich / sauve-moi - sauve-moi
Unsere Träume waren gelogen / Nos rêves étaient des mensonges
Und keine Träne echt. / et chaque larme factice
Sag das das nicht wahr ist, / Dis-moi que ce n'est pas vrai
Sag’s mir jetzt. / dis-le moi maintenant.
Vielleicht hörst du irgendwo, / Peut-être entends-tu quelque part
Mein SOS im Radio! / Mon S.O.S lancé à la radio...
Hörst du mich? Hörst du mich nicht? M'entends-tu – oui ou non ?
Rette mich … »
Mes yeux s’emplissent de larmes au fur et à mesure de la chanson, le clip continue, sa voix raisonne dans ma tête, son visage surgit en flash dans mon esprit…
Les larmes coulent sur mes joues, les paroles prennent un autre sens tout à coup, je sens le vide dans mon cœur s’alourdir.
Mes yeux sont rivés sur l’écran ne voulant ratés aucune seconde…de lui.
Le clip s’achève, son visage s’efface, me laissant un sentiment de solitude pesant.
Mes larmes coulent lentement sur mes joues.


<3

J'adore.
Une nounou!!
Vraiment la elle cartonne la mere.
En meme temps si sandra ecoute pas sa mere elle va aps ecouter une inconnue.
Quoique pourquoi pas.

SUITE!!

tu te rend compte une NOUNOU >.<
MDR


Chapitre 99 ==>


Anita apparaît dans l’encadrement de la porte
« Bon alors à nous deux… ça va pas ? » me questionne-t-elle déstabilisé par mes larmes sans doute.
Je ne répond pas, et sors en courant du salon, la bousculant au passage.
Je gravit les escaliers et m’effondre sur mon lit.
Fatiguée de pleurer, fatiguée de crier, fatiguée d’être seul, fatiguée de son manque…
Les images me reviennent en mémoires, son sourire, ses yeux plein d’étoiles, son visage, sa voix…
Une overdose de bonheur, me laissant amère … je n’y ai plus droit.
Chaque instant, chaque seconde est plus douloureuse que la précédente.
Sans lui, je ne suis plus grand-chose, sans lui je ne suis plus moi.
J’ai besoin de lui, de me sentir meilleur juste parce que je suis avec lui, de pouvoir le regarder durant des nuits juste de peur qu’un jour je puisse oublier ses traits.
Je sens une main se poser doucement sur mes épaules.
« Sandra ?... ça va ? Tu … tu veux … »
« QU’IL REVIENNE ! »
Mes paroles avaient dépassé mes lèvres sans que je puisse les contrôler…
Dans le même temps, je m’étais retournée et assise en face de mon interlocutrice.
Ses yeux soutenaient les miens.
Les larmes m’empêchaient de voir si elle me comprenait ou si elle me jugeait.
Mais le monde pouvait bien me juger, ça m’était totalement égale.
Tout m’est égal.
« Je veux qu’il revienne… » Soufflais-je avant d’être submergé par une vague de larmes.
Ses bras m’enlacèrent, je me suis débattue au début, puis j’ai arrêté, à bout de force...
Elle me murmure de me calmer, que tu t’irais bien, que ça ne sert à rien de pleurer…
Mais j’ai tellement mal…
« Chutt, ça va aller… » Murmure-t-elle gentiment.
Après quelques minutes, je commence enfin à me calmer.
Je m’écarte de son étreinte et balaye mes larmes des gestes de la main.
Elle m’observe à la fois compatissante et incrédule.
« Pourquoi tu me regardes comme ça ? » demandais-je calmement.
« Pour… euh pour rien. C’est de voir Bill qui te fait cet effet là ?
Tu pleurais aussi comme ça quand il etait avec toi ? »
« Non, je… attends, comment est-ce que tu sais qu’il est avec moi ? » demandais-je.
Il me répond tout de suite « Ta mère, et tous les journaux de la ville »
« Ah…et qu’est ce qu’elle t’as dit d’autre ma mère ? »
« Uniquement, que vous sortiez ensemble un soir, et que ça c’est mal fini » répond-elle.
« C’est pas exactement ça en faite … »
Un goût amer me reste en travers de la gorge.
(Mentir, toujours mentir…)
« Ah, et c’est quoi la vraie version ? » s’empresse-t-elle de demander ativement.
« euh… »

Aaaah mais ça va etre énorme !

XD

Suite suite suite

SUITE!!!

MDR
quel est le sens d'énorme pour toi , Déca ?




Chapitre 100

« Si c’est trop indiscret, ne me réponds pas, c’est pas grave, je peux comprendre » rajoute-elle.
« Non, c’est pas ça… c’est que … je ne saurais pas par ou commencer… »
« Commence par le début » dit-elle en m’adressant un sourire encourageant.
Je prend une grande inspiration, et commence
« En faite, avec Bill… »
Je m’arrête pour réfléchir, mes mains bougent comme si elles accompagnaient ma parole, sauf que je ne parle pas, je cherche dans le vide mes mots sans les trouvés… ce qui a le don de m’exaspérer au plus haut point… comme un tas d’autre chose.
« Respire, calme toi, on le temps… dis moi ce que tu as envie de me dire, je t’écoute, je te jugerai pas, tu me dis juste ce que tu veux me dire, et après si tu veux on en reparle plus jamais, je serais comme une page d’un journal intime, je serais muette » rassure-t-elle.
Je respire bruyamment, je réfléchis un instant et débute à nouveau
« J’ai pas l’habitude de me confier, c’est pas contre toi, c’est juste que, c’est dur pour moi de raconter ce qui me fait souffrir, ce qui m’angoisse…
J’ai l’impression que c’est tellement … rien.J’ai pas le sentiments d’être assez importante pour qu’on gaspille du temps à m’écouter.
J’ai pas envie qu’on me plaigne ou autre, tu comprends ?
Je crois d’ailleurs que je ne me suis jamais réellement confiée… à personne.
Y a toujours une partie de ce que j’ai vécue que je cache. Je sais pas pourquoi, c’est comme ça.
A Bill non plus je ne me confie pas. Il a vraiment du mérite de me supporter !
Ça doit être frustrant d’être avec quelqu’un qui ne dit rien de ce qu’elle ressent.
Quand j’y pense, je ne lui ai même jamais dit « je t’aime ». Pourtant lui il me le dis à longueur de temps, et toujours avec la même étincelle dans les yeux, avec le même sourire innocent, avec la même sincérité dans la voix.
Quelques fois, j’ai l’impression de vivre un rêve, et que je vais me réveiller un beau matin et qu’il sera plus là… comme en ce moment.
Et j’ai l’impression de vivre un cauchemar… de descendre aux enfers.
J’ai besoin de lui. C’est un manque quand il est pas là, mon cœur se déchire quand il est loin.
Respirer loin de lui, s’en ai douloureux…
Mon esprit pense à lui tout le temps, chaque seconde, chaque heure, à tout moment, son visage m’obsède, me hante.
J’ai peur…J’ai peur qu’un jour, il me laisse, qu’il m’oublie, que nos chemins se séparent, qu’il ne veuille plus de moi…
Je pourrais pas vivre sans lui.
C’est lui ma raison de vivre, c’est lui qui me donne envie de me battre chaque matin, sans lui je serais déjà morte y a longtemps.
Il m’a abandonné une fois… je ne pourrais pas supporter une deuxième.
J’ai tellement eu mal quand il est partit.
J’aurais jamais cru qu’on puisse souffrir autant de l’absence de quelqu’un.
J’ai voulu mourir des dizaines et des dizaines de fois juste pour cesser de souffrir.
Mais j’ai jamais eu le réelle courage de mettre un terme à mes souffrances.
Mais j’avais tellement mal, que j’ai cherché quelque chose pour le remplacer ou du moins pour remplacer l’énorme vide au fond de moi.
Je crois que j’ai testé la moitié des drogues du pays…
Mais je n’étais accro qu’à une drogue…et c’était lui.
J’ai un besoin obsessionnel d’être avec lui. C’est maladif, quand il est pas là, j’ai la sensation de ne pas être … moi. Il est mon oxygène.
Je crois que je suis folle…
Quelques fois, je me demande comment ça va finir nous deux…
C’est vrai, une passion comme ça ne peut être que dévastatrice.
…euh…je suis désolé, je crois que je me suis un peu emporter… »
Les larmes mettaient montées aux yeux…en même temps que d’anciens souvenirs… en même temps que d’autres frayeurs…en même temps que de vieilles angoisses…



<3

une nounou non mai je rêve!!
moi ma mère me fais ça, je la tue sur place mais sandra a de la chance elle a l'air sympa!!

vite la suite!!

Enorme = Excellent pour moi xD

La Nounou elle va la laisser partir, obligé...
Elle va avoir pitié d'elle, et l'envoyer retrouver Bill... --'

je pensais exactement à ça, elle a l'air super touché et qelle personne d'un peu sentimentale peut résister à une adolescente amoureuse et pleurant tout le temps??

SUITE!!!!!

Non par pitié.
Elle va organiser une rencontre entre le groupe et sandra comme ça sandra, elle, n'aura rien fait de mal et on pourra rien lui reprocher.
Et la nounou se fera virer et sandra pourra vivre seule (enfin peut avec bill s'il veux)

Comment j'invente blinder des trucs.

SUITE

je reviens dans 20 minutes grand max
désolé
( c'est pas mon choix , on m y a obligé!)
T-T
bisouuu

Chapitre 101


« Ne t’excuse surtout pas, tu viens de me faire le récit de ce que je connaîtrais jamais je crois !
Crois-moi, si il te laisse tomber, c’est qu’il n’en vaut pas le coup !
Pleurs pas, je suis sur que tout vas s’arranger… tu le mérites.
Un beau visage comme le tien, ne devrait jamais pleurer.
Tu as vécu bien des choses pour une fille de ton âge, tu as le droit à un peu de bonheur, crois-y. »

Je lui adresse un léger sourire.
Je me sens apaisée, je crois qu’il était temps que je me confie, je ne pouvais plus garder tous ça pour moi, c’était trop.
Elle essuie la dernière larme qui trouvait refuge sur ma joue.
« Allez viens, je vais te faire à manger ! » déclare-t-elle en souriant.
Puis elle ajoute « fin… je vais tenter de faire à manger ! »
On rit toutes les deux, puis on se lève direction la cuisine.
(…)
La préparation du repas a été assez rudimentaire je dois dire…
Ni elle, ni moi ne savent réellement cuisiner, donc on s’est contentée de faire trop cuire des pâtes et de cramer la sauce tomates en boîte.
Mais bon, on a bien rit tout de même.
Ça fait du bien de se détendre un peu, de discuter, de se changer les esprits… de vivre un peu tout simplement.
Le reste de la journée se déroula sereinement.
J’apprenais à connaître Anita, finalement elle n’était pas méchante, elle ne ressemblait pas du tout à ma mère.
Anita m’avait dit qu’elle avait plus ou moins perdu contact depuis quelques temps avec ma mère, et qu’elle avait été étonnée d’avoir un appel de ma mère.
Elle avait hésité avant de venir, mais finalement elle avait accepté, par curiosité.
Et je dois dire que je suis plutôt contente qu’elle soit venue.
Même si nous sommes presque que des inconnues, je me sens à l’aise avec elle.
La nuit tomba bien vite, mais nous sommes restées à discuter encore longtemps dans le salon…
(…)
Je me couche l’esprit quelque peu soulagé…
(une dernière pensée pour Bill et mes yeux se ferment…)



<3

La suite <3

J'aime bien cette nounou =)
En plus elle le nom de ma Maman xD

Mdr oui oui, je sors, arrêtes de pousser U_U