[Terminée] 10 minutes de plaisir contre ...

oui la suite stpppppppppppppp!!!!!!!!!!

Chapitre 130


« BILL ! »
Je me réveille en sursaut, des images se mêlent d’en mon esprit…
Je le revois s’écrouler… son sang sur mes mains…son regard glacial sur moi…
Je regarde autour de moi, la pièce est vide… il n’y a que moi…
La porte s’ouvre rapidement sur Gustav, qui affiche une expression inquiète
« Ça va ? » se dépêche-t-il de demander.
« Oui, oui… j’ai fais un cauchemar horrible… »
Il s’approche, s’assoit sur le rebord du lit, et m’interroge du regard.
« Ça va, rassure toi » affirmais-je.
A en croire par son regard, il ne me croit pas réellement, mais n’insiste pas.
« Prépare-toi, on retourne à l’hôpital » dit-il.
J’aquièçe d’un signe de tête, et il ressort de la chambre.
Quelques secondes plus tard, les idées plus en place, je me traîne à mon tour hors de la chambre, pour retourner dans la mienne.
[…]
Je prends un jeans et un pull dans ma commode et file sous la douche, me dépêchant le plus possible.
[…]
Une fois prête, je dévale rapidement les escaliers, et vais à la cuisine, ou ils m’attendent tous.
Un faible sourire s’étend sur chacun de leurs visages, puis s’efface tout aussi rapidement qu’ils étaient apparus.
« Tu veux un café et du gâteau ? » propose Anita.
« Non merci, je… on va voir Bill ? » demandais-je.
Ils ne se firent pas priés, et tous se levèrent.
Sans un mot, on sortit tous de la maison, pour emprunter la route de l’hôpital…
Trajet silencieux, comme toujours.
On entre dans le bâtiment, et on se faufile de couloirs en couloirs, que l’on connaît déjà trop bien, jusqu’à la chambre de Bill.
Une infirmière monte la garde devant sa chambre, et elle bondit lorsqu’elle nous aperçoit.
On se fige devant elle.
« On peut entrer ? » demande Tom.
« Oui, mais pas tous à la fois » répond-elle d’une voix suraiguë.
« Pourquoi ? » s’étonne Tom.
« Il doit se reposer, nous avons eu quelques souci cette nuit »
« SOUCI ?! Quels genres de souci ? » Les mots étaient sortit de ma bouche sans que je puisse les contrôler, et le ton sur lequel j’avais prononcé cette phrase était légèrement tremblant.
Le fait de savoir qu’il y avait eu un problème me glaçait le sang.
« Ne vous inquiétez pas, tout va bien maintenant » assure l’aide soignante « mais il faut qu’il se repose »
On entend un soupire de soulagement
Avant qu’Anita insiste « Qu’est ce qui s’est passé exactement ? »
« Et bien, en faite, cette nuit sont cœur s’est arrêté pendant un cours instant, et ensuite il s’est remis à battre normalement, nous avons refait tout les tests, et visiblement, il va bien, du moins son état est stable, mais il est toujours dans le coma » finit-elle joyeusement.
Je reste bouche bée devant l’attitude de cette femme, elle est entrain de me dire que son cœur s’est arrêté, et elle finit par un sourire !
Je rage intérieurement, et alors que j’allais lui balancer ces quatre vérités, je sens une main se poser sur mon épaule, je jette un coup d’œil au-dessus de mon épaule… c’est Gustav, il s’approche un peu plus de moi et murmure à mon oreille « Calme-toi »
Je soupire longuement, et finit par ravaler toute ma colère.
« Pourquoi vous nous avez pas prévenue cette nuit ? » ajoute Anita.
L’infirmière semble prise au dépourvue et bégaye difficilement que ce n’est pas elle qui s’occupe de ça, etc…
Le baratin ordinaire quoi…
Tom s’impatiente, quand il prend la parole sa voix est froide et menaçante
« On peut y aller là, ou vous avez encore autre chose à nous annoncer ? Comme je sais pas moi, que vous avez du l’opérer pendant la nuit, je m’attends à tout maintenant ! »
L’infirmière ne savait plus ou se mettre et finit par répondre timidement
« Vous pouvez y aller mais deux à la fois seulement… »
Tom ne se fit pas prier et entra de suite dans la chambre, alors que l’infirmière s’évaporait dans le couloir.
« Qui veut y aller ? » demandais-je.
« Vas y toi » répond Georg.
« Non, je… je voudrais… j’aimerais être seule avec lui… »
Ce fut finalement Gustav qui rejoint Tom dans la chambre du chanteur.
Puis quand ils furent sortis, ce fut au tour de Georg et d’Anita, et enfin au mien.
[…]
Voir le corps étendu de Bill sur ce lit, réveillait en moi, mes plus grandes peurs… mais plus grandes angoisses…
Mon corps tremblait, mon ventre se tordait, ma gorge séchait.
Ses yeux étaient clos, empêchant de voir l’habituelle étincelle dans ses yeux.
On aurait dit que tout était mort …
J’aurais aimé crier que je l’aime, que je veux qu’il s’éveille…
Il ne m’aurait pas entendu, alors je suis rester muette devant lui, caressant du bout des doigts son visage.
Je suis resté un moment à l’observer, à l’admirer …
Cherchant à mémoriser chaque parcelle de son être que je connaissais déjà…
[Les jours suivant se ressemblèrent étrangement, tout tournait autour de Bill et les allées et retours Hôpital-Maison.]
(3h du matin… une sonnerie de téléphone retentit dans la maison ou tous dorment…
La sonnerie retentit 3 fois avant que quelqu’un décroche et réponde d’une voix pâteuse
« Allo ? »
« Oui, allo, c’est l’hôpital Benjamin Franklin, est-ce que un membre de la famille de Bill Kaulitz est là ? »
« Je…euh oui, oui un instant »
Anita se leva d’un bond, sortit de sa chambre, pour aller dans celle de Tom.
Elle prit soin de frapper à la porte, mais n’attendit pas de réponde avant d’enter.
Elle alluma la lumière, et s’approcha du lit pour secouer le guitariste.
« TOM !! REVEILLE-TOI !! »
Le dreadé se réveilla en sursaut, alors qu’il allait râler contre celle qui l’a réveillé, Anita lui tendit la téléphone
« C’est l’hôpital »

vite la suite, tu peux pas nous laisser comme ça là!!!

AH NON --'

Ca se fait pas de couper à ce moment là...
Ou bien Bill s'est reveillé ou bien il est mort MDR xD

elle a pas le droit de venir en semaine alors on va devoir vivre avec ce suspens insoutenable jusqu'à ce week-end!

OOh j'avoue c'est trop sadique de nous laisser la deçu.
j'aime trop
SUITE

A oui j'allais oublier.
J'ai donc vu kim auj.
Elle vous fait de gros bisous et négocie pour pouvoir venir un peu en semaine.

Elle m'a surtout charger de faire un gros bisous à Julie (pas de jalouse svp), donc je m'execute.
Elle aurait surement trouver une autre manière de le dire, ave ses mots qui nous fond toutes pleurer masi je ne suis pas capable de l'ecrire comme elle donc je l'ecrirai simplement.

=')
Tu lui transmet la même chose de ma part? <333

Pas de problème!!!
Ce sera avec plaisir.

dis lui qu'on l'attend avec impatience et qu'elle nous manque! ^^
fais lui de gros bisous de ma part stp!!

pas de problemes les filles
Elle sera super contente en tout cas.

j'espère parce qu'on l'aime fort et qu'elle nous manque ici
bisous et merci
j'tadore

Elle était super contente!!
Ca lui a fait plaisir de savoir que vous pensez à elle

oki, tant mieux je suis contente!!
merci beaucoup!!
^^

Chapitre 132 ==>


« Faut qu’on mette les choses au point » annonce-t-il solennellement.
Je n’ai pas besoin de réfléchir bien longtemps, avant de savoir de quoi il parle.
Je lui répond un « oui » timide, puis il continue.
La discussion fut rapide, on a décidé tout les deux de dire la vérité à Bill.
Je crois que c’est la meilleure chose à faire.
C’est la seule chose qui peut essayer de reconstruire une confiance quelconque entre nous…
On rejoint finalement rapidement les autres, et on se réinstalle aux mêmes places qu’on avait quitté quelques minutes auparavant.
(…)
Finalement, la nuit fut longue.
Le soleil s’était levé, il y a quelques heures déjà et on ne pouvait toujours pas entrer dans cette foutue chambre !
L’attente était insupportable… un parfum de jugement flottait dans l’air… bientôt tout sera avoué…
La culpabilité, qui ne m’avait pas réellement quittée depuis des jours, sembla encore plus présente, me retournant le cœur.
(…)
« Vous pouvez aller le voir » annonça une infirmière, qui venait de sortir de la chambre du chanteur.
Je lève mon regard vers elle.
J’ai peur, je tremble, j’angoisse, je me sens coupable, je me sens mal.
Tom prend ma main dans la sienne « Il est l’heure »
Il est l’heure, ces mots raisonnent en écho dans ma tête alors que je me lève mécaniquement vers sa chambre…
J’ai l’impression de signer mon arrêt de mort, plus je m’approche, plus mon cœur s’emballe.
Par où commencer ? Qu’est ce que je vais lui dire ?
Comment il va réagir ?
Un millier de question me traversent l’esprit, mais je ne trouve pas la moindre réponse, tout est confus dans ma tête.
Tom et moi sommes les deux premiers et les seuls, à entrer dans la chambre.
Tom lâche ma main avant d’entrer, on s’engouffre dans la pièce, la porte se ferme derrière nous en claquant…
Il est temps…
Bill est couché sur son lit, le torse relevé grâce à une montagne de coussins.
Son corps est toujours branché de par et d’autre, son visage toujours aussi pâle, mais cette fois il est réveillé.
Il nous dévisage tour à tour, Tom puis moi, moi puis Tom… puis après un moment nous sourit.
Je lui rends timidement son sourire, Tom fait de même puis on s’approche jusqu’à son chevet.
Tom, plus courageux que moi, serre son frère dans ses bras, Bill répond à son accolade et il s’enlace tendrement.
Quand ils se séparent, Tom affiche un visage radieux, Bill pose alors son regard sur moi.
Ses yeux me pénètrent, et écorche mon être…
Ça me déchire parce que dans son regard je ne vois pas de colère, je ne vois que de l’amour… et je ne le mérite pas… je ne le mérite plus, et je ne l’ai sans doute même jamais mérité.
Les larmes me montent aux yeux, alors que la voix de Bill s’élève entre ses murs
« Tu m’embrasses pas ? » demande-t-il.
Ses mains viennent caresser les miennes innocemment, ses doigts s’enlacent dans les miens, et il m’approche de lui.
Je baisse les yeux ne voulant affronter encore une fois son regard doux, que je ne mérite pas.
Je m’assois sur le rebord de son lit, il tourne mon visage vers lui, alors que les larmes ruisselaient sur mes joues.
Il colle mon corps au sien, mon visage s’enfuit dans son cou, alors que ses bras m’enlacent.
Il dépose un baiser sur mon front, puis ses lèvres glissent jusqu’à mon oreille
« Je t’aime » me susurre-t-il, faisant redoublé mes sanglots.
« Bill… je suis désolé » articulais-je entre deux sanglots.
Il ne me répond pas, sa main caresse les trait de mon visage et le relève, nos yeux se croisent encore débordant d’amour, alors que je préfèrerais encore y voir de la colère.
J’aimerais qu’il me haïsse jusqu’à la fin des temps, que sa colère éclate, qu’il me déteste… je ne le mérite pas.
Ses lèvres viennent se poser délicatement sur les miennes.
Je tremble, je savoure, je meurs un peu à chaque seconde…
Son baiser est délicieux, je sens son cœur battre contre le mien… je le sens vivre enfin…
Nos lèvres se quittent après quelques magnifiques secondes.
Mon corps se détache de sien, sa main enlace toujours une des miennes, et il ne semble pas décidé à ce que ça change.
Un silence pesant s’installe dans la pièce, que Bill brise rapidement
« Vous êtes bizarre ! Y a un souci ? » Demande-t-il en riant.
« Euh… Bill, tu… tu nous en veux pas ? » Questionne Tom étonné du comportement de Bill.
« Vous en vouloir de quoi ? »
« Bill tu vas bien ? » s’inquiète Tom.
Avant qu’il ait pu répondre à la question posée, une infirmière rentre en souriant dans la pièce.
Elle s’approche du lit et vérifie les machines silencieusement.
Tom interpelle l’aide soignante intriqué par le comportement de son frère
« Excusez-moi, mais vous êtes sûr qu’il va bien ? »
« Euh, oui je viens de tout contrôler, il est en pleine forme ! » Acquièce-t-elle gentiment.
« Vous êtes sûr ? Parce je crois qu’il a un trou de mémoire ! » S’emporte le guitariste.
« On ne vous a pas prévenu quand on vous a appelez cette nuit ? »
« Prévenu de quoi ?! »
Elle nous détail de haut en bas un moment, puis déclare
« Votre frère, ne semble pas se rappeler pourquoi et comment il est arrivé là, nous lui avons expliquez qu’il a fait un coma, mais il ne semble pas s’en souvenir, mais ne vous inquiétez pas, ce n’est rien de grave. »
« Comment ça il ne se souvient pas ? » ajoute Tom.
« Oui, certaines personnes après des coma ou autres, on de léger trou de mémoire, mais au bout de quelques jours la mémoire est recouverte, ne vous inquiétez pas, ce n’est rien de grave.
D’autres questions ? » Demande l’infirmière.
« Est-ce qu’on doit lui dire ce qui s’est passé ? »
« Non, il doit s’en souvenir seul. D’autres questions ? »
Tom et moi adressons un léger signe de tête négative.
L’infirmière sort alors, nous laissant avec Bill.
Je crois qu’on a du pâlir légèrement, parce que Bill nous demande si tout va bien.
Après quelques instants de réflexion, Tom se décide à reprendre la parole
« Oui, oui t’inquiètes pas, ça va, ça va »
« Les autres sont là ? » demande Bill avec un énorme sourire au visage.
« Oui, ils sont là je vais les chercher »
Tom joint les gestes à la parole et revient quelques secondes plus tard accompagné de Georg, Gustav et Anita.
Tout le monde s’active autour de Bill, des vannes et des sourires résonnent dans les airs…
Je suis là, à côté de lui… à côté d’eux, pourtant j’ai l’impression de vire la scène de très loin, trop loin, pour que ce soit vrai…
[Des minutes, peut-être quelques heures s’écoulent]
« Sandra ? T’es avec nous ? »
Je sors de mes rêveries, Bill me regarde les yeux pleins d’étoiles, qui me poignardent inconsciemment.
« Oui, oui je suis là » soufflais-je étouffant un sanglot de culpabilité au fond ma gorge.
« Les gars vous pouvez nous laissez » demande-t-il avec un sourire.
Ils sortent tous rapidement, Tom le dernier, je lui adresse un regard désemparé. Qu’est ce que je dois faire.
Il l’a compris, mais lui non plus ne sait pas ce qu’il faut faire, il m’adresse un sourire et sort comme les autres.
Je reste paralysée à deux mètres tout au plus de son lit.
« Viens »
Je m’approche de lui, dès que je suis à porter de ses mains, il m’enlace la taille, et m’attire sur son lit, il s’écarte un peu, me faisant de la place à ses côtés, ou je m’allonge, ses bras se referment sur mon corps.
« Tu m’as manqué, si tu savais comme je t’aime » me murmure-t-il.
Je sens mon souffle s’accélérer dangereusement, mon corps tremble… pourquoi faut-il qu’il me dise ça ?
Il rit quand il voit que je suis si inquiète
« C’est moi qui te met dans ton tes états ? » rit-il.
Rien ne peut sortir de ma bouche, ses lèvres viennent kidnapper mes lèvres.
J’ai pas le droit de faire ça… j’ai pas le droit de l’embrasser, alors que je sais qu’il ne se souvient pas de tout…
Je n’ai pas le droit, pourtant je le fais, et j’intensifie le baiser, m’accrochant désespérément à ses lèvres…
Je finis par me retrouver couchée sur lui, nos lèvres et nos langues toujours scellées.
Ses mains parcourent mon dos, puis s’égarent sous mon T-shirt.
C’est mal…
Le baiser se stoppe, alors qu’il m’enlève mon pull, son visage s’enfuit dans mon cou et sa langue se pose dans mon cou.
Je soupire de plaisir dans ses bras.
Je ne devrais pas…
Ses mains se perdent sur ton mon corps, alors que je frissonne sous ses attentions, alors que mon cœur explose… je perds pied dans ses bras, enivré par son odeur.
Son corps appel le mien dans des plaintes muettes.
Il souffre du manque, comme je souffre de ma culpabilité.
Il s’acharne dans mon cou, en même temps qu’il donne un coup de rein, qui me fait me retrouver sous lui.
Il sourit contre mes lèvres qu’il a retrouvé, son bassin bouge contre le mien…
On ne peut pas…
<3

Je la déteste cette fille.
Je la déteste vraiment. Elle est faible et conne.

JE LA HAIS !

Bref --"

Suite quand même ^^

MDR
j adore qd tu t'enerve Julie
Huhu
et j'adore comme elle* t'énerve ^^
trop marant !
suite dans 2 minutes...


fin conte 10 ... --'

Je la déteste
Quelle putte
Elle doit lui dire
C'est limite un viol, enfin non parce que il est concentant masi apres, une fois qu'il saura, il sera plus concentant du tout.



SUITE

Suite**

Chapitre 133 ==>


« Bill… non… stop » murmurais-je.
Il ne s’arrête pas pour autant… le contraire m’aurait étonné d’ailleurs.
Ses mains glissent entre nos corps, il ouvre lentement la fermeture de mon jeans…
Je sais qu’il en a envie, j’en ai envie aussi… mais je n’ai pas le droit....
Mon cerveau ne répond plus beaucoup…
Mon désir s’écoule dans mes veines comme un poison… je me laisse enivré par son souffle court, ses gémissements de contrariété étouffé…
Mon bassin se soulève pour l’aider à me déshabiller, il soupire d’aise et jette le pantalon à travers la pièce…
« Tu es belle » murmure-t-il.
Je me déteste de me laisser faire de la sorte, je me déteste de lui infliger ça.
« Bill, non… attends »
Je gesticule sous lui, son corps s’écarte légèrement du mieux, je me soulève pour me mettre sur mes avant-bras.
Son front se pose sur le mien avec douceur, il ferme les yeux… je sais qu’il se retient, je sais je le sens.
Il prends une grande inspiration, puis ré ouvre les yeux, un sourire aux lèvres, puis me murmure
« Si tu veux pas, je peux attendre… j’ai déjà attendu »
J’aimerais mourir plutôt de lui infliger ça…
« Je… sais pas contre toi… c’est juste qu’on peut pas… » Marmonnais-je.
Il se laisse tomber à mes côtés, sans un mot, rabattant la couverture sur nous.
« Je suis désolé » m’excusais-je encore.
Il sourit, son bras passe autour de moi, et il me serre contre lui.
Ses doigts se perdent dans mes cheveux, je sens son cœur s’accélérer, son souffle toujours aussi court.
« C’est pas grave, si tu veux pas… mais … non rien » ajoute-t-il.
« Quoi ? » Insistais-je.
« Non, si t’as pas voulu qu’on le fasse, tu voudras pas non plus ça »
Ses joues virèrent au rouge en quelques secondes, je me redresse un peu et mon regard se plonge dans le sien.
« Ça quoi ? »
Il relève les yeux, sa main caresse mon visage et tombe jusqu’à ma nuque, il rapproche son visage de moi
Son souffle chaud me caresse délicieusement, sa voix est sensuel… un peu trop pour moi
« Disons, que ça fait longtemps que je t’ai plus touchée, que ton corps me manque et que j’ai envie de toi, et que même si tu veux pas qu’on le fasse, je me demandais si… fin si tu pouvais juste me faire un petit plaisir, parce que là ce calmer tout seul ça risque d’être dur. Je lutte depuis que je suis réveillé pour pas te sauter dessus et te faire l’amour »
Mes mots restent bloqués dans ma gorge, incapable d’articuler le moindre semblant de mot, ma bouche s’ouvre et se ferme sans laisser passer le moindre son.
Ses iris sont maintenant plongés dans les miens, me déstabilisant encore plus.
J’oublie tout ce qui m’entoure, restant hypnotisé par son regard.
Il n’a jamais été si beau qu’aujourd’hui… le passé n’existe plus pour lui… je sais qu’il pense à l’avenir, qu’il m’a pardonné mon passé, il m’a pardonné mes erreurs… du moins celle qu’il connaît.
J’aimerais pouvoir regarder l’avenir avec lui, mais je sais qu’il n’existe pas, et qu’il n’existera jamais.
Je sais que jamais le cours de notre ancienne vie ne reprendra…
Au fond de mon cœur, je commence à comprendre, qu’on ne peut plus retourner en arrière… que c’est terminé… ce n’est plus qu’une question de temps…
Le temps c’est tout ce qu’il nous reste…
« Alors ? » demande-t-il encore, ses yeux suppliants.
« Je…Bill… »
« Ah ben a ce que je vois tout va bien ! »
Nos deux regards se fuient, pour chercher à qui appartient cette voix.
On tombe sur une infirmière qui s’avance vers nous, elle s’arrête au milieu de la pièce et ramasse les vêtements éparpillés de part et d’autres.
Elle arrive jusqu’au lit.
Je me colle de plus en plus à Bill, m’éloignant le plus du bord, voulant mettre un maximum de distance entre l’infirmière et moi.
« Tenez » dit-elle en nous posant les vêtements sur le lit.
« Et évitez de faire ça ici, de plus vous n’êtes pas encore remis Mr.Kaulitz, se genre de pratique pourrait vous être néfaste pour le moment » dit-elle sur un ton d’amusement.
Je vire au rouge, gêné mais en même temps sauvée.
« Ne vous inquiétez pas, je ne le dirais à personne ! Je vérifie quelques petites choses, puis vous laisse » ajouta-t-elle.
Elle s’approche de Bill, je me recule un peu
« Non, non c’est bon, vous pouvez rester » Annonce-t-elle.
Je ne sais pas ou me mettre, ni quoi faire je me contente de rester coucher à côté de Bill, rouge de honte.
Elle ne resta pas longtemps, elle prit sa tension, vérifia son rythme cardiaque en disant que pour la situation son cœur battait au bon rythme.
Finalement après quelques minutes, elle s’en alla joyeusement, nous laissant tous deux les joues rosies.
« Et ben on a eu de la chance de pas avoir eu une vieille mégère ! Sinon on en aurait pris plein la tronche ! » Rit Bill, avant de se rapprocher encore de moi.
Ses lèvres viennent caresser les miennes doucement.
« Alors, on est ce qu’on en était ? » demande-t-il avant de retrouver mes lèvres, pour approfondir le baiser.
Je laisse nos langues se frôler quelques court instant, plus je le repousse

Ahem. J'adore l'infirmière x3

Par contre, lui, qu'elle con.
Limite il lui aurait dit "Taille moi une pipe maintenant" ça m'aurait même pas choqué de sa part quoi.
Et elle. Toujours aussi conne. Et encore, elle le repousse, c'est déjà bien. Mais quelle faiblesse, merde !

Sinon, je t'oblige de poster une suite xD Tu nous avait dit 10mn hier, on la attendu plusieurs heures, et non c'est pas un chantage xD

Désolé
je me suis fais jarté du pc , pui apres qd je suis révenue j'avais pas le courage de venir sur le fo'
désolé...
et puisque tu m'oblige a mettre une suite
comment puis je refuer ?! xD
attend 2 minutes
<3

Chapitre 134 ==>


Il me regarde les yeux ronds, puis ses traits s’attendrissent « J’suis désolé, je sais que tu veux pas, mas c’est plus fort que moi… j’ai envie de toi. »
« Moi aussi, mais on peut pas, Bill, crois-moi, si je fais ça tu vas me détester encore plus »
« Pourquoi je te détesterais ? »
« Je… je peux pas te le dire… » Soufflais.
« Sandra, j’aime pas quand tu me ment… Je veux que tu me dises ce que tu as, j’veux pas que tu sois triste, je vois que t’es pas bien, dis moi ce qu’il y a. »
« J’ai rien… je… »
« Je vois bien que quelques choses ne va pas, dis le moi » prie-t-il.
« Je peux pas, tu dois recouvrir la mémoire seul »
On reste un moment bercer par le silence, dans les bras l’un de l’autre.
Il dé serre notre étreinte « Je reviens » dit-il avant de sortir rapidement du lit, pour s’engouffrer dans une petite pièce, qui je suppose doit être la salle d’eau.
J’en profite pour sortir à mon tour du lit, et me rhabiller.
Je retends les draps légèrement, puis il réapparaît, un sourire se dessine sur ses lèvres lorsque nos regards se croisent.
(…)
Le reste de la journée se déroula normalement… déchiré entre la culpabilité et l’amour…
Bill ne pouvait pas sortir de l’hôpital vu son état, alors on est tous restés dans sa chambre, on a parlé de tout et de rien… Surtout de rien.
Tom semblait profiter des derniers instants de réelles complicités avec son frère, tandis que je m’interdisais d’en profiter.
Bill nous a demandé, à Tom et à moi, plusieurs reprises si tout allé bien … honteusement on lui répondait que oui…
On ne pouvait lui dire la vérité… alors on mentait…
Repoussons l’échéance, où la colère de Bill éclaterait, sans préavis d’aucune sorte.
[22h dans la chambre d’hôpital de Bill
Anita, Georg, Gustav, Tom, Sandra et Bill discutaient encore.]

« L’heure des visites est terminées, vous devez sortir » annonce une infirmière en entrant faisant taire toutes les discussions.
Une moue boudeuse se lit sur les visages, Tom réclame un délai supplémentaire, mais l’infirmière refuse catégoriquement, prétextant que la journée était assez longue pour Bill, et qu’il devait se reposer.
« Est-ce qu’elle peut rester dormir avec moi ? » demande Bill à l’aide soignante, en me montrant du doigt.
« Je… non…c’est pas…Bon d’accord, mais juste pour ce soir ! » capitule la femme attendrit par les yeux embué du chanteur.
Je ne sais pas trop si c’est une bonne chose de rester avec lui ce soir…
La sensation que l’on veut me faire payer… que l’on veut me montrer ce que je vais perdre…me torture.
Tout le monde finit par s’en aller en embrassant une dernière fois Bill.
Une fois seule, à tour de rôle, la salle de bain étant trop petite, on alla se préparer séparément pour aller se coucher.
J’y suis allée la dernière, et lorsque je sors enfin après quelques longues minutes, Bill est déjà couché, et semble dormir.
Je me glisse sous les draps, évitant de faire toucher nos deux corps pour ne pas le réveiller.
Mais à peine, ai-je éteints la lampe de chevet, que son corps se colle à moi, son torse contre mon dos.
Ses mains enlacent ma taille, et il dépose un baiser dans mon cou.
« Tu croyais quand même pas que je dormais ? » souffle-t-il.
Nos jambes se mélangent, en même temps que nos mains s’enlacent.
« Je…Tu… tu dois te reposer » dis-je, en me retournant, pour me retrouver face à lui.
« Je sais, je t’attendais juste… je voulais goûter tes lèvres avant de m’endormir, elles me manquent tu sais ? » dit-il en riant.
Je souris légèrement. Ses lèvres viennent se poser sur les miennes, ses bras m’entourent encore me rapprochant toujours plus de lui.
Trop près pour ne pas sentir la souffrance m’envahir.
« Voilà, maintenant je vais bien dormir » murmure-t-il quand nos lèvres se séparent difficilement.
J’aurais aimer m’échapper de ses bras, mais il en avait décidé autrement, et me garda plaquée contre son torse fermement.
« Tu restes avec moi, hein … » demande-t-il les yeux clos, la voix faible.
J’étouffe un faible sanglot « Oui, je reste avec toi… je reste avec toi »
Il soupire d’aise, alors que je sens son étreinte se relâcher quelques peu en tombant dans le sommeil.
La lune et les étoiles illuminaient la pénombre de la chambre…
J’ai observé chaque détail de son visage … puis j’ai remarqué que je les connaissais déjà par cœur.
Je suis restée éveillée toute la nuit, sa main dans la mienne, m’assurant que son cœur battait toujours.
Je l’ai regardé et je me suis haïe toute la nuit, ma main libre effleurait son torse retraçant des arabesques imaginaires.
La nuit fut bien trop courte, j’aurais aimé rester à ses côtés pour l’éternité….
Le soleil se leva sur son corps, le rendant encore plus beau, si c’est possible.
J’ai regardé chaque parcelle de son corps s’illuminer peu à peu.
Ses yeux restèrent fermés malgré les rayons qui traverser les fenêtres.
Après des heures, Bill se réveilla enfin, lorsqu’il vu que j’étais toujours à côté de lui, il me sourit faiblement, encore un peu endormi, ses lèvres viennent embrasser chastement mon front.
« Bien dormi ? » demandais-je.
Sa réponse fut coupée d’un bâillement, qui finit par un « oui »
« Et toi bien dormi ? … Vu ta tête t’as pas du dormir beaucoup ! »
« Merci Bill… je vois que ton tact légendaire est de retour »
« Mais non, mais … fin »
« Rame » grognais-je.
« Mais non, t’es belle, mais disons que t’as des cernes, c’est tout »
Il me serre fort contre lui, et ses lèvres viennent caresser ma joue comme pour se faire pardonner.

(Les jours, les matins, et les nuits se succédèrent à un rythme effréné.
De temps à autre, j’oubliai le passé, et profitai des moments de retrouvailles comme les autres, mais une fois rentrés le soir à la maison, je me maudissais de continuer à vivre.
Bill ne semblait pas se soucier réellement du comment il était arrivé à l’hôpital, je suppose qu’il se disait qu’il le saurait un jour ou l’autre, et qu’il préférait se consacrer à l’avenir.
Mon père et ma mère ne rentrèrent finalement pas, prétextant des excuses stupides, et disant qu’ils rentreraient dès qu’ils le pourraient…
Les parents de Bill étaient coincés, et ne pouvaient venir tout de suite, mais faisaient tout pour rentrer le plus rapidement en Allemagne)
[1 semaine plus tard.
Le médecin sort de la chambre de Bill, Tom et moi l’accompagnons]
« Oui, vous sembliez avoir des questions par rapport à l’état de votre frère » annonce le médecin.
« Oui, en faîte vous nous aviez dit qu’il n’avait qu’une perte de mémoire temporaire, mais ça fait déjà 1 semaine qu’il est sorti du coma, et il ne se souvient toujours de rien ! » Râle Tom.
« A la base, ce n’est qu’une perte de mémoire temporaire… »
« À la base ? » coupe Tom.
« Oui, à la base. Certain patient, inconsciemment refoule le souvenir, car trop douloureux à supporter.
Il est possible que votre frère n’accepte pas un souvenir, et refuse donc de recouvrir la mémoire. »
« Et qu’est ce qu’on peut faire pour ça ? Il ne peut pas zapper un moment de sa vie comme ça ! » Cria presque Tom.
« Malheureusement on ne peut rien faire, il lui faut le temps de retrouver et d’accepter ce qu’il a vécut. » déplore le médecin.
« Mais comment voulez vous qu’il accepte quelques choses dont il se souvient plus ! » s’indigna le guitariste.
« Clamez vous, s’il vous plaît. Vous expliquez toute la théorie du conscient et de l’inconscient serait trop long. Votre frère sait inconsciemment ce qu’il refoule. Il ne veut pas se l’avouer c’est tout.
Il faut attendre qu’il ait le déclique, qu’il soit prêt à faire face à ce qu’il craint. Il se protège. »
Je prends la parole pour la première fois depuis le début de cette entretien « Et combien de temps, il peut refouler ses sentiments ? »
Le docteur me regarde les yeux compatissants « ça peut durer 1 jours comme des mois… Plus le passé est difficile à révéler, plus le choc sera dur quand il se souviendra… Mais malheureusement ne pouvons rien faire. »
L’homme en blouse blanche, nous sourit gentiment puis voyant que nous n’avions plus de question, il s’en alla.
« On n’a plus qu’à attendre » soupire-t-il.
« On est dégelasse … On le laisse croire que tout va bien, que tout est tout beau. Mais en faite, c’est un enfer, on ment. On fait que ça, on ment jour après jour, en le regardant dans les yeux, comme si de rien n’était… Il mérite mieux… vraiment mieux… »
« Qu’est ce que tu veux qu’on fasse ? » questionne-t-il lasse.
« … »

Je suis d'accord avec toi Julie masi en même temps comment je ragirait dans cette situation?
Je n'en sais rien.
elle ne peux pas lui dire et en meme temps elle ne peux pasfaire comme si de rien etait.
Elle est partager entre eux sentiments difficile a controler.
Mais j'avoue qu'elle est conne, depuis ledebut elle ets fable.
Pourquoi mnt ca changerai?

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