[Terminée] 10 minutes de plaisir contre ...

MDR j'adore ta vision des chose !!

mais c'est vrai que au debut c'est Bill le salaut dnas l'histoire et pas sandra et encore moins Tom.
Ce n'est que retour normal de shcose je trouve.


(Pas du tout sadique!)

non pas du tou, légèrement!! ^^

Non mais c'est vrai. --'
C'est Bill le gros connard. Qui s'est cassé pendant deux ans sans donner de nouvelles. Qui est revenu genre il s'ets rien passé. En l'engueulant tout le temps pour un rien. EN manipulant tout le monde autours de lui. Et là il revient, il fait encore des conneries, et c'est pas sur lui que ça retombe? Non, désolée, mais non quoi --'

MDR
c'est la fautre de Bill mnt ?
je suis tout a fait
totalement d'accord qu il est pas tout blanc dans l histoire
mais bon Tom et sabdra
non plus
--'
suite dans 2 minutes



MDR
julie tu l'aime pas deja mnt Sandra alors qu'estce que tu vas dire apres ?!!!
MDR




je peux vraiment pas m'en empecher ...
désolé

https://real-tokiohotel-fan.1fr1.net/poemes-sur-tokio-hotel-f57/echec-et-mat-t1776.htm#39864


<3

Chapitre 122


Un froid s’enlise entre nous, mais après une attente insoutenable, Gustav me redemande encore
« Qu’est ce qui s’est passé pour que Bill en arrive à boire comme ça ? »
Je ne sais pas quoi lui répondre… Est-ce que je dois lui dire ?
Où alors, je dois me taire…
« Sandra, j’vais te donner 2 minutes pour me dire ce qu’il y a, après c’est Tom que je vais voir ! »
« Tom ? » interrogeais-je étonnée.
« Oui, Tom, tu me prends pour un imbécile ou quoi ! Ça se voit que vous cachez quelque chose. Et si tu veux pas me dire ce que c’est, j’irais voir Tom.
« … »
« Je te laisse une chance de t’expliquer, dis le moi. Je vais pas te bouffer !
Tu me fais confiance, non ? »
« … »
« Non ? » insite-t-il.
« J’te fais confiance, mais… » Soupirais-je.
« Y a pas de : mais. Je te promets, que je ne te jugerais pas. Et puis, je suis sur que c’est pas si grave que ça » dit-il en tentant de détendre l’atmosphère.
« Pas si grave ?! Bill est à l’hôpital ! Dans le coma ! »
« Je sais, mais je veux dire, que je suis sur que c’est pas de ta faute » tente-t-il avec un petit sourire.
« … »
« C’est pas comme si il t’avait surpris dans les bras d’un autre ! Là, ça serait différent. »
Quand Gustav achève sa phrase, je reste interdite, les yeux ronds.
A son tour, ses yeux s’écarquillent lorsqu’il voit l’expression de mon visage.
« Sandra ? » questionne-t-il doucement.
Je me contente de le regarder, totalement paralysée.
« Dis-moi pas que toi… que Tom… vous avez… couchez ensemble ?! » crache-t-il.
« Gustav, laisse-moi t’expliquer, c’était pas… »
Il se lève, se mettent en face de moi et crie
« Tu te rends compte de ce que vous avez fait ?! Mais vous êtes inconscient ou quoi ?!
Vous avez pensez à Bill ?! Putain Sandra ! Bill t’aime ! »
« Je sais » criais-je avant d’éclater en sanglot.
« Mais merde, comment vous avez pu faire ça ?! »
Gustav faisait les cent pas devant moi, complètement affolés, il me jetait quelques regards perdus, auxquels je ne savais pas répondre
« Gustav, écoute-moi s’il te plaît » soufflais-je.
Il ne prêta pas attention à ce que je disais, et continuais de marcher, essayant de trouver un solution, je présume… comme si il pouvait y en avoir une.
« Manquerez plus que vous vous soyez drogués » lâche-t-il ironiquement.
« … »
« Sandra ?! » murmure-t-il alors qu’il s’approchait de moi, le regard froid.
Je baisse la tête, alors que la culpabilité me ronge… mais je ne peux m’en prendre qu’à moi.
(C’est ce qui est le pire, être responsable de son propre malheur…
Etre consciente que tout est de notre faute…
Qu’on aurait pu changer les choses…
Mais qu’on s’est laissé porté par la facilité…
J’aurais pu dire non à la drogue…
J’aurais pu…)
« Tom ne s’est pas drogué » susurrais-je.
Gustav soupir de soulagement, avant de m’interroger « et toi ? »
« Tu connais déjà la réponse » soufflais-je.
« Dis-le moi » demande-t-il fermement.
On se sent petite, on se sent faible, on se sent bête.
« Gustav… » sanglotais-je.
« Sandra »
Je détourne le regard, et commence faiblement
« Je… je suis désolé… »
« Tu m’avais promis ! » hurle-t-il.
« Je t’avais promis de faire attention, pas que je ne le ferais plus ! »
« C’est pas le moment de jouer avec les mots, j’te signale ! » s’égosille-t-il encore.
« J’te demande pardon » murmurais-je.
« C’est pas pour moi que je t’avais demandé de ne plus y toucher ! C’est pour toi !
Regarde ce que cette merde t’as fais faire ! »
Mes yeux s’emplissaient de larmes, tandis que Gustav essayer de reprendre son calme.
Après un moment où il s’est remis à faire les cent pas devant moi, il s’arrête en face de moi.
Son visage est pâle, et il semble complètement désemparé.
Il se rassit silencieusement à côté de moi, alors que mes joues s’humidifiées de plus en plus.
J’ai sanglotais pendant quelques secondes avant qu’il prenne ma main dans la sienne, et qu’il m’approche de lui.

ça y est Gustav a tout deviné, en même temps fallait chercher super loin!
la suite stp!!

J'aime tjs autant.
Gus gus s'ennerve.
Elle la bien meritée sandra, je trouve même que Gustav pourrai y aller plus fort.


MDR

SUITE

Il aurait pû l'engueuler encore plus que ça quand même.
Et Tom était pas drogué, mais il était plein comme une barrique, c'est pas mieux.

--"

Chapitre 123


Ma tête se posa dans son cou, et mes pleurs s’intensifièrent.
« Ça va aller » murmure-t-il, en me serrant contre lui.
Après quelques seconds, il prends mon visage entre ses mains, et me sourit tendrement, tout en chassant les larmes de mes joues.
« Allez viens » dit-il en se levant.
Je me lève à mon tour, puis on reprend la direction de l’hôpital silencieusement.
On retraverse les mêmes couloirs blancs qu’il y a quelques minutes, pour atterrir dans la salle d’attente, ou se trouve les autres.
Tous les regards se posent sur nous, pendant un instant, puis retombent à leurs contemplation du sol.
Gustav et moi, nous installons sans bruits.
Des heures passent, le silence régnant dans les lieux.
Les médecins ne veulent rien nous dire, et ça commence à m’agacer de plus en plus.
(…)
La nuit était tombée depuis bien longtemps, Anita et les deux G s’étaient assoupis, quand un médecin se dirigea vers nous.
Tom et moi nous levons d’un même mouvement, puis allons à la rencontre de l’homme à la blouse blanche.
Son visage reste placide, il nous détaille tout deux avec un regard froid.
« Vous êtes ? » demande le médecin.
« Son frère Tom Kaulitz» s’empresse d’ajouter Tom.
« Et vous ? » insiste le médecin.
« Euh… » hésitais-je. Je ne sais plus comment me positionner dans cette situation. Je ne suis plus sur de rien.
« C’est sa copine » ajoute Tom naturellement, en m’adressant un regard abasourdi devant mon doute.
« Je préfèrerais m’adresser aux parents » annonce le médecin hautain, en cherchant des yeux une personne adulte.
« Bah y en a pas, alors vous allez nous dire ce qu’à Bill et plus vite que ça ! » s’énerve Tom.
« Calmez vous jeune homme ! » grogne le médecin.
« Je me calmerais quand vous m’auriez donné des nouvelles de mon jumeau ! » crie Tom.
« On est dans un hôpital, je vous signale ! On ne crie pas ! Alors je vous demanderais de ne pas vous énervez ! » Demande le toubib.
« Je vous signale qu’on est ici depuis des heures, et que on est au courant de strictement rien, alors je m’énerve si je veux ! » continue Tom avec arrogance.
Le médecin soupir et finit par annoncer mécaniquement
« Mr Kaulitz a fait un coma éthylique, il souffre également de nombreuse de quelques blessures physiques du à des bouts de verres. Il a également un traumatisme crânien situé près de la tempe, ce qui est assez fâcheux… »
« Fâcheux ? » interroge Tom, n’y comprenant sans doute rien au jargon médical, tout comme moi.
« Oui » repris le médecin « L’œdème a été résorbé, mais nous ne savons pas réellement combien de temps le cerveau n’a pas été alimenté, de plus votre frère avait ingéré une grande quantité d’alcool. »
« Je ne comprends rien ! » s’énerve Tom « Vous pouvez être plus clair s’il vous plaît ?! On a pas tous bac plus 10 ! »
« Ça c’est sûr » murmure le médecin niaisement.
« Pardon ?! Je dois prendre ça comment ?! » Crie Tom.
« Laisse tombé Tom » soufflais-je en le tirant un peu pour ne pas qu’il égorge le docteur.
Les deux hommes se défient du regard, le médecin allait répliquer quelque chose, mais je le prends de vitesse, de peur que leurs colères respectives n’explosent.
« Est-ce qu’il va s’en sortir ? » demandais-je.
Le regard de l’homme se détourna de celui de Tom, son regard s’adoucissant quelque peu.
« Nous avons fait tous ce que nous pouvons » annonce le médecin.
« Pff… tu parles » soupire Tom exaspéré.
« Il se réveillera quand ? »
« Bien, ma demoiselle, je ne peux pas vous répondre. Il a eu tous les soins qu’on pouvait lui donner.
Nous ne pouvons pas évaluer tous les dégâts, certes.
Mais nous ne pouvons plus grand-chose pour lui, il vivra si il veut vivre. Tout dépend de lui. »
« Comment ça vous ne pouvez pas évaluer tout les dégâts ? Et comment ça tout dépend de lui ? » Interrogeais-je.
« Et bien, le traumatisme crânien peut provoquer toute sorte de problème, comme la perte de la mémoire, ou des facultés physiques endommagées. Mais nous ne pouvons que savoir ça lorsque le patient est réveillé, donc pour le moment nous ne savons pas.
Ensuite, Mr Kaulitz est plongé dans le coma, chaque personne réagit différemment à cet état.
Il peut rester quelques heures, quelques jours, mais aussi des années, ou toute une vie comme ça.
Nous n’avons aucun pouvoir sur ça. »
Je restais muette absorbant chaque mot qui s’échappait de la bouche de cet homme, Tom ne disait rien, mais ses soupirs d’exaspération parlaient pour lui.

Tom est trop marrant ! xD
Il se souvient pas de ce qu'il s'est passé lui?? Ou alors il fait comme si de rien n'était?

Suiiite =)

MDR
j'en sais rien
fin si mais ....
MDR




Chapitre 124

Le médecin nous salua et s’en alla. On retourne à nos places.
J’observe Tom en face de moi, qui peste contre le médecin.
Mais finalement, c’est pas au médecin qu’il en veut, c’est à lui… le fait de ne rien pouvoir faire… le fait de subir… le fait de vivre, alors que son double peut mourir à tout instant.
Le reste de la nuit s’acheva monotonement, aucun bruit ne venait déranger le silence de plombs qui régnait. Anita et les deux autres s’étant assoupis, il ne restait qu’éveillé que Tom et moi.
Quand les rayons du soleil percent à travers les fenêtres, Anita et Gustav ouvrent péniblement les yeux.
Anita s’étire rapidement, alors que Gustav s’empresse de demander
« Des nouvelles ? »
Tom relève le visage qu’il avait enfuit dans ses mains et répond
« Bonjour, oué on a eu des nouvelles »
« Et ? » questionne le blond impatient.
« Et il a autant de chance de se réveiller, que de ne pas se réveiller, l’abruti de médecin a dit qu’ils ne peuvent plus rien faire… Plus rien faire mon cul ! Bac +10 est même pas capable de le soigner ! »
« Calme-toi Tom » murmure le batteur.
Tom allait répliquer, mais les bâillements sonores de Georg, le détourne de son objectif et il reste muet.
Anita se lève « Je crois que je vais retourner à la maison, appeler tes parents voir ou ils sont, et apporter quelques affaire pour Bill, même si il n’en a pas réellement besoin pour le moment.
Quelqu’un veut venir avec moi ? »
« On vient » annonce Gustav en montrant Georg également.
« On ?! » répète Georg.
« Oui, ON » insiste Gustav.
« Bon bah allons-y, on revient le plus rapidement possible » ajoute Anita.
Puis tout les trois se dérobent de mon champ de vision, j’entends encore leurs voix lointaines
« Moi je voulais rester ! » ça c’est Georg pensais-je en souriant.
« Parce qu’ils doivent parler » répond simplement Gustav.
« Ah… mais parler de quoi ? Qu’est ce que vous me cacher encore ?! »
Je n’entends pas la réponse de Gustav leurs voix étaient trop lointaines à ce moment.
Je regarde Tom, son visage est pâle… étrangement pâle, ses yeux sont cernés, et rougit.
Son visage ne traduit plus son assurance habituelle, mais une tristesse accumulée depuis plusieurs temps.
Gustav a raison, on devrait parler… fin je devrais parler à Tom…
Mais par où commencer ?
Je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps, qu’un médecin vient interrompre une conversation pas encore commencer.
« Vous êtes bien la famille Kaulitz ? »
Tom acquiesce d’un signe de tête, et le docteur poursuit
« Vous pouvez aller voir Mr Kaulitz, il est toujours dans le coma, mais son état est assez stable pour le moment. Il est chambre 665. »
Il finit son discours par un léger sourire, et nous fait signe à une infirmière de venir.
Une infirmière arrive donc près de nous, il lui glisse quelques informations à l’oreille, puis il s’en va.
La femme nous détails du regards, puis nous sommes de la suivre.
On la suit durant quelques minutes à travers de longs couloirs blancs, le seul son qui raisonnait été celui des machines… stressant, pouvant s’arrêter à chaque moment.
On arrive enfin devant la chambre portant le numéro 665…
(A un pas de l’enfer…)
Elle s’arrête avant d’entrée, se retourne sur nous puis déclare « Un à la fois uniquement »
Je regarde Tom. « Vas-y » soufflais-je.
Il entre sans plus attendre dans la chambre, je m’accoude sur le mur en face de la chambre, prenant mon mal en patience… attendant mon tour.
Quelques minutes s’écoulent, l’infirmière qui se trouvait toujours devant la porte, saisit son portable qui vibrait, elle l’observe un moment, puis déclare
« Je dois y aller, vous pouvez entrer une fois que le jeune homme sera sortit »
Je lui souris en signe d’approbation.

Gustav et Georg, quelle discretion --'
De vrais éléphants dans un magasin de porcelaine, hein !

Sinon... J'me demande pour lequel la situation est la plus difficile... Tom ou Sandra? J'dois dire que je suis assez partagée...
Sandra parce que c'est quand même bien de sa faute...
Ou Tom, parce que c'est son jumeau, et qu'on jumeau ne peut pas bien vivre sans sa moitié...

MDR
C'est super triste masi je suis encore plus MDR qu'hier et que la premiere fois que j'ai lu
C'est trop drole (enfin je trouve!!)
SUITE

C''st plus dure pour Tom
Sandra c'est de sa faute oui masi a tom aussi et puis c'est la faute a Bill aussi.

Tom il aime Bill d'une autre manière que sandra, c'est un amour essentiel a leur survi enfaite, sandra elle le dit masi elle a reussi a vivre deux ans sans Bill donc elle pourai continuer.

Bref, c'est tom quii est plaidre, quoique qu'elle idee de boire autant, franchement.

J'avoue...
A ce moment là, il a un peu piqué l'idée à Sandra... C'est elle qui avait commencé à boire (bon elle est passé à la drogue après, mais... x))

Totalement d'accord avec vous




Chapitre 124

Au bout d’une dizaine de minutes passé à attendre debout, je glisse nonchalamment contre le mur pile en face de la porte de sa chambre.
Les minutes me sont insoutenables… je veux tellement le voir.
(…)
La porte s’ouvre sur Tom.
« A toi » annonce-t-il.
Je me relève péniblement, la fatigue commence à se faire ressentir, doucement.
Il s’accoude à son tour contre le mur.
Je pose ma main sur la clenche de la chambre, tourne la poignée puis pousse la porte avec quelques appréhensions…
J’entre dans la pièce, et la porte se ferme automatiquement derrière moi, me faisant sursauter.
J’avance dans la chambre blanche et spacieuse, jusqu’au lit ou se trouve Bill.
La pièce est éclairée par les timides rayons du levé du soleil. Le silence est seulement brisé par les sons réguliers de la machine indiquant le rythme cardiaque de Bill.
Je continue d’avancer jusqu’au bord de son lit, ou je n’ose pas m’asseoir.
Son visage est étrangement pâle, ses yeux sont clos… malgré tous les appareils qui sont branchés à lui, il me paraît presque serein, ses traits sont détendus, comme si il ne s’était qu’endormi.
Je sais pas quoi faire… j’aimerais le serrer contre moi, ravir ses lèvres, sentir son cœur battre contre le mien…
Mais est-ce que je peux ?
J’approche encore de lui, m’asseyant sur le bord de son lit, prenant soin d’abaisser la barrière de sécurité.
J’aimerais me coucher à ses côtés et oublier tout ce que j’ai fait, tout ce que je n’ai pas fait…
Je l’observe toujours et encore, sans m’en lasser.
Mon regard bloque sur ses lèvres, j’ai envie de les goûter… j’ai besoin de lui…
Mon visage s’approchait du sien, mon souffle effleurant ses joues, tandis que le sien réchauffait mon cœur.
J’aurais aimé l’embrasser, sentir sa protection, son amour…
Mais je ne pouvais me résoudre à déposer mes lèvres sur les siennes…
Le simple fait que nos souffles se mélangent, me mettait mal à l’aise.
J’ai l’impression de salir un ange, alors je recule mon visage du sien péniblement, déchiré entre mes regrets et mes remords.
Ma main se perd sur son visage, redessinant ses traits innocemment, comme une douce caresse, juste l’effleuré tendrement.
Mes yeux s’emplissent de larmes, lorsque je me dis, que c’est peut-être la dernière fois que mes mains se posent sur lui…
Mon cœur s’emballe à cette pensée, qu’un « nous » n’existe plus.
Ma main abandonne son visage pour glisser dans la sienne, qui est perfusé.
J’ai mal pour lui, j’ai mal pour ce que je lui inflige.
J’entends la porte s’ouvrir
« Les visites sont terminées » souffle une infirmière.
« Je peux pas rester encore un peu ? » demandais-je.
« Non, désolé »
Je n’insiste pas, n’en ayant plus la force ni physique, ni morale.
Je descends du lit, dépose un baiser sur son front, et sors lentement de la pièce, lui jetant un dernier regard triste de devoir le quitter.
Dans le couloir je retrouve Tom, assis par terre, l’ai épuisé.
L’infirmière sort de la chambre après moi et nous dit que une autre infirmière allait venir pour lui faire des soins, et que nous devions le laisser se reposer.
Puis elle s’en va.





hey Mo
si t'a ecris cette nuit ou ce matin
je dis pas non au Mp
MDR
s'te plait
(L)

J'arrive pas à la trouver touchante Sandra.
J'ai juste envie de la secouer comme un pommier en lui disant que c'est d'sa faute. Ou alors qu'elle est conne, parce que c'est celle de Bill... --"

MDR
moi non plus j'aarive pas a avoir de la compassion pour elle
même de la pitier ...
>.<





Chapitre 125

« On doit parler, je crois » annonce Tom.
Je fis un signe affirmatif de la tête avant de me laisser glisser à mon tour sur le mur, en face de Tom.
Un silence timide s’installe, la tension est perceptible entre nous, chaque respiration est longue et se compare à un soupire sans fin.
« Sandra ? » tente-t-il hésitant.
« Oui »
« Qu’est ce qui s’est passé entre toi et Bill ce matin ? »
Je le regarde un peu ébahit je m’attendais à une autre question.
« Je…enfin… on s’est disputé… » Bégaye-je en repensant à notre dispute, le dernier mot me revenant automatiquement en mémoire et me fait frissonner « Crève ».
J’y resonge encore et encore, je revois son visage, chaque détails, et ça me fait toujours aussi mal… Mal de savoir qu’il le pensait sûrement, mal de se dire que peut-être c’est le dernier mot qu’il m’a dit et qu’il ne me dira jamais plus.
« Tu te souviens de cette nuit ? » demandais-je essayant d’arrêter de me remémorer ce mot qui me hante.
« Oui… plus ou moins » dit-il honteux.
« Plus ou moins ? » répétais-je en échos.
« Oui, plus ou moins…Je me rappel avoir bu…beaucoup, peut-être trop…
Le reste et flou, je vois ton visage et ton corps par flash, mais… en faite après c’est délicat »
« Délicat ? » renchéris-je.
« Oui, en faite, dans mes souvenirs, ou mes rêves…Je vois qu’on… » Il s’éclaircit la voix et ajoute à voix basse « qu’on fait l’amour… ».
« C’était pas un rêve … » laissais-je échapper.
« Tu veux dire qu’on a réellement couché ensemble ?! » s’emporte-t-il.
Je baisse la tête instinctivement, lui se lève rapidement, et se pointe devant moi.
« Tu veux dire que j’ai pas rêvé ?! Que c’était réel ?! Que toi et moi, on a … on a couché ensemble ?! »
« Oui » répondais-je timidement.
Il s’accroupis devant moi, relève mon visage attristé.
Nos regards dépités se croisent, il semble complètement perdu, paniqué, inquiet.
« S’il te plaît dit moi qu’on la pas fait » demande-t-il suppliant.
Je ne réponds rien alors que mes larmes s’écoulent sur mes yeux répondant à ma place.
Il se relève et fait s’écrasé son poing contre le mur de toute ses forces.
Je sursaute, et me redresse à mon tour.
Il refrappe de toute ses forces contre le mur, alors qu’un filet de sang ruisselle sur sa main.
« ARRETE ! » criais-je.
Il se tourne vers moi, m’adressant un regard glacial.
« Pourquoi t’as fait ça ?! » vocifère-t-il à son tour.
« Je…mm… » Tentais-je d’articuler, mais en vain, la culpabilité prenant possession de moi.
« J’étais soul ! Tout ça c’est de ta faute ! Bill est dans le coma à cause de toi ! J’veux plus te voir !
Dégage ! » Hurle-t-il.
« Arrête ! T’as pas le droit de dire ça, t’es aussi… »
« PART ! » coupe-t-il, tandis que mes joues devenaient le théâtre des mes pleurs.
Je fais un pas vers lui, pour le calmer, lui expliquer calmement tout, mais son regard se noircit, et il fait un quart de tour et frappe à nouveau de toutes ses forces contre le mur, qui se tâche de sang après le coup.
Je recule de peur, de colère contre moi, contre lui.
Il me jette un dernier regard de haine, mais de désespoir aussi… puis je m’en vais.
Je parcours les mêmes couloirs mais à l’envers cette fois, et finit par arriver dans la salle ou nous avons attendu toute la nuit.
Je m’installe sur une chaise, le cœur bercé de douleur, de souffrance, de colère.
Je me déteste… je me dégoûte aussi, un subtile mélange d’abjection et de culpabilité envenime mon corps et mon âme.
Je me suis rongée les sens pendant 1h encore, avant que je revoie des visages familiers.
Anita, Georg et Gustav arrivent, et s’asseyent sur les fauteuils voisins.
« Alors vous avez eu du nouveau sur Bill ? » demande Anita.
« Oui, il a fait un coma éthylique » annonçais-je faiblement.
Ils firent tous une mine inquiète, puis Georg pris la parole avant que s’installe une ambiance pesante « Et il est passé ou Tom, au faite ? »
« Je…Il est dans le couloir devant la chambre de Bill » répondais-je.
« On peut aller le voir ?! » questionne Anita.
« Oui, vous pouvez, Bill est chambre 665 »
Ils se levèrent tous d’un même mouvement.
« Tu viens pas avec ? » s’étonne Gustav.
« Non, je préfère rester là, un peu »
« T’es sur ? »
« Sur et certaine » murmurais-je en lui adressant un léger sourire.
Georg et Anita, nous lancèrent un regard, auquel le batteur répondit
« Allez-y on vous rejoint après ».
Georg et Anita n’attendirent pas plus longtemps, et s’engouffrèrent dans les couloirs de l’hôpital.
Gustav s’assit sur la chaise la plus proche de moi, son regard insistant sur moi.
« Alors ? » interroge-t-il.
« Alors ? »
« Pourquoi tu veux pas aller voir Bill ? » demande-t-il.
« J’ai pas envie. » répondais-je simplement essayant de retenir les sanglots qui menaçaient de s’extérioriser.

Ben moi je sais pas vrm quoi dire par apport a sandra, j'ai envie de la pleindre et en meme temsp pas du tout
C'est un sentiments bizarre je doit dire.
En tout cas j'adore la fiction et j'ai trop envie de lire apres, que ca parte encoreplus en live, j'adore






j'ai pas vraiment beaucoup ecrit cette nuit. Je t'ai envoyer hier ce que j'avais ecrit puis j'ai eteint l'ordi et la je lit le livre que je suis censé avoir lu pour vendredi prochain. (je suis a la page37 et il y en a 282)
voila

Tom a l'air de tellement souffrir... 'fin j'sais pas... Moi il me fait vraiment de la peine.

Et elle, je la trouve pitoyable.

Je suis une grosse sans coeur, je sias T_T

non t'es pas sans coeur, je pense la même chose, Tom prend tout dans la gueule mais bon Tom est aussi coupable de tout l'alcool que Bill a bu car Sandra était certes droguée mais lui était bourré comme un trou alors je suis partagée!

ouai masi bon Tom il se refugie vachement derriere le fait qu'il etai bourer, c'est quadn meme lui qui est entrer dans sa chambre (si vous avez le courage d'aller relire le passage!)

Donc moi je suis partager

Moi je pense la meme chose mais ,
tom Oui le pauvre , mais c'est aussi de sa faute
Oui i l avait bu , oui il etait triste donc oui il a fais une erreur
mais sandra ?
elle a fais la meme chose non ?
a par qu a la place de boire elle s'est droguée.
normalement on devrais aussi avoir dela pitier pour sandra , non ?
Bon moi j 'en ai pas , mais si on réfléchis je devrai en avoir aussi ....
* je suis surment pas normal MDR*

Suite dans 2 minutes<3